article14-1 de la loi du 10 juillet 1965. 0. Par JURISTE_AFCopro Conseil Syndical Syndic bĂ©nĂ©vole. Le refus des comptes empĂȘche-t-il le recouvrement des charges? Lire la suite. Recherche. Afficher la recherche. ThĂ©mes. ThĂ©mes. Demander informations sur l’adhĂ©sion. Votre nom (obligatoire) Votre adresse de email (obligatoire) Votre tĂ©lĂ©phone (obligatoire) Adresse de
ASSOCIATION SOUPIR STATUTS ARTICLE 1 - CONSTITUTION ET DENOMINATION Il est fondĂ© entre les adhĂ©rents aux prĂ©sents statuts une association rĂ©gie par la loi du 1er juillet 1901 et par le dĂ©cret du 16 aoĂ»t 1901 ayant pour dĂ©nomination STOCK SA. En cas de vacance, le conseil d'administration pourvoit provisoirement au remplacement de ses membres. Il est procĂ©dĂ© Ă  leur remplacement dĂ©finitif par la plus prochaine assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. Les pouvoirs des membres ainsi Ă©lus prennent fin Ă  l'Ă©poque oĂč devrait normalement expirer le mandat des membres remplacĂ©s. ARTICLE 9 - REUNIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION Le conseil d'administration se rĂ©unit une fois au moins tous les six mois, sur convocation du prĂ©sident, ou sur la demande de la majoritĂ©... Article 32 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire fonds, car it faut, des l'ou- verture du chantier, ver- ser des acomptes aux entreprises. Les copro- prietaires ne peuvent se soustraire au paiement de ces appels de fonds. Ce- pendant, ils ont inter& a debattre et a fixer, lors de l'assemblee generale, la date et le montant de ces appels. Lorsque des tra- le syndic peut engager des depenses importantes sans demander 'accord de l'as- semblee generale. II dolt cependant consulter le conseil syndical. Quant l'appel de fonds, it ne peut depasser l... Article code civil ModifiĂ© par Loi n°70-643 du 17 juillet 1970 - art. 22 JORF 19 juillet 1970 ModifiĂ© par Loi n°94-653 du 29 juillet 1994 - art. 1 JORF 30 juillet 1994 Créé par Loi 1803-03-08 promulguĂ©e le 18 mars 1803 ModifiĂ© par Loi 1927-08-10 art. 13 Chacun a droit au respect de sa vie privĂ©e. Les juges peuvent, sans prĂ©judice de la rĂ©paration du dommage subi, prescrire toutes mesures, telles que sĂ©questre, saisie et autres, propres Ă  empĂȘcher ou faire cesser une atteinte Ă  l'intimitĂ© de la vie privĂ©e ces mes... Article code civil ModifiĂ© par Loi n°70-643 du 17 juillet 1970 - art. 22 JORF 19 juillet 1970 ModifiĂ© par Loi n°94-653 du 29 juillet 1994 - art. 1 JORF 30 juillet 1994 Créé par Loi 1803-03-08 promulguĂ©e le 18 mars 1803 ModifiĂ© par Loi 1927-08-10 art. 13 Chacun a droit au respect de sa vie privĂ©e. Les juges peuvent, sans prĂ©judice de la rĂ©paration du dommage subi, prescrire toutes mesures, telles que sĂ©questre, saisie et autres, propres Ă  empĂȘcher ou faire cesser une atteinte Ă  l'intimitĂ© de la vie privĂ©e ces m... Loi du 6 juillet 1989, article 17 c commentaire puisqu'il ne prend en consideration ni le prix des terrains ni celui de 'habitat recent et ancien. Renouvellement du bail A la fin du bail, au moment de sa reconduc- tion, le loyer est, en regle generale, seulement revise en fonction de l'indice du coat de la construction, comme chaque armee. Dans le cas oti le pro- prietaire souhaite une re- evaluation plus importante, it doff respecter toute une procedure. Si le locataire accepte, eventuellement apres arbitrage d' une com- mission de concil... Article 10 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire type de charges est que, contrairement aux charges precedentes, la repartition ne se fait pas en fonction des milliemes mais de l'uti- lite que represente chaque service collectif ou ele- ment d'equipement com- mun pour chaque lot. Charges d'ascenseur it est constant d'admettre qu'un appartement situe au rez- de-chaussee doitetre dispense de payer les charges d'ascenseur dans la mesure cependant oti l'ascenseur ne dessert pas egalement un sous-sol abritant des caves ou un parking qu'utilise le... Article 21 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire reunir la majorite des voix de tous les coproprietaires. Le role du conseil syndical II assiste le syn- dic dans ses peut saisir le syndic si une question lui parait impor- tante panne d'ascenseur, violation du reglement inte- rieur. Le syndic dolt le consulter pour les ques- tions diverses concemant la gestion de la copropriete. Le conseil syndical par- ticipe egalement a la preparation de l'assem- blee generale annuelle. II donne aussi son avis sur les devis, marches et contra... dissertation sur le dopage Article 42 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire recettes et depenses, etat des dettes et des creances, situation de tresorerie, budget previsionnel ; - l'assemblee s'est pronon- cee sur une question qui n'etait pas inscrite a rordre du jour ou mal formulee ; - Ia question n'a pas ete votee a Ia majoHte. L'annulation de toutes les decisions de l'assemblee Les coproprietaires peuvent demander l'annulation de toute l'assemblee generale dans les cas suivants - la convocation n'a pas ete redigee dans les formes prescrites ; - I'ordre du jour n... Article 24 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire Les limites aux ini- tiatives du syndic Le syndic dolt obligatoirement consulter le conseil syndical des que le prix des travaux depasse un certain montant. L'assemblee generale peut attribuer au conseil syndical la mission de selectionner l'entreprise a qui sera confiee la realisation des travaux. Lorsqu'il estime que le prix demands par 'entrepre- neur est trop sieve, le conseil syndical peut de- mander a d'autres profes- sionnels d'etablir de nou- veaux devis. Le prix des travaux Les cop... Dissertation citation La rĂšgle de l'article 1134 Code civil est la consĂ©quence de l'autonomie de la volontĂ© la volontĂ© est toute puissante ; elle engage l'individu Ă  l'Ă©gal de la loi » Nous etudierons dans un premier temps l’influence que possĂšde l’autonomie de la volontĂ© sur le Code civil I puis il s’en suivra une Ă©tude sur le dĂ©clin croissant de l’autonomie de la volontĂ© dans le contrat II. I- L’influence de l’autonomie de la volontĂ© sur le Code civil Ce qui peut contribuer Ă  l’influence de l’autonomie de la volontĂ© sur le Code civil est en premier l’accord des volontĂ©s ce qui est l’élĂ©ment essentiel du contrat A mais Ă©galement la libertĂ© contractuelle du c... Article 8 delĂ  loi du 10 juillet 1965 commentaire de service en appartement constitue ce qu'on appelle un changement d'affecta- tion d'un local prive. Les travaux pourront etre realises sans avoir demander l'autorisation de l'assemblee generale dans les cas suivants - le reglement de copro- priete a prevu de telles transformations ; - la chambre de service etait dĂ©jĂ  utilisee comme appartement ; - les travaux de transforma- tion ne contreviennent pas A la destination de I'im- meuble et ne nuisent pas aux autres coproprietaires. II resulte de... Titre» le PrĂ©fet, Nous avons l'honneur, conformĂ©ment aux dispositions de l'article 5 de la loi du 1er juillet 1901 et de l'article 1er du dĂ©cret d'application du 16 aoĂ»t 1901 de procĂ©der Ă  la dĂ©claration de l'association STOCK SA. Article 4 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire - les passages et les corri- dors. Le reglement de copropriete II precise les conditions d'utilisation des lots, les regles de fonc- tionnement et les pou- voirs de l'assemblee ge- nerale, les modalites de fonctionnement du conseil syndical. Tout reglement de copro- priete doit faire l'objet dune publication au fichier immobilier. Ce fichier est conserve et tenu a jour par le bureau de conservation des hypo- theques du lieu de la situa- tion de l'immeuble. L'assemblee gene- rale Composee de... La responsabilitĂ© du gouvernement devant le Parlement depuis la loi constitutionnelle du 23 juillet 2008 » droit Cette rĂ©forme a voulu corriger les erreurs du passĂ©. Pour cela, il convenait alors d'appuyer sur un point important dans l'Ă©quilibre des pouvoirs la responsabilitĂ© dugouvernement. A Un exĂ©cutif plus encadrĂ© par le Parlement Et c'est sur ce point que la rĂ©forme insiste. La rĂ©vision de l’article 34/1 de 2008 apporte une nouveautĂ© elle permet aux assemblĂ©e parlementaire de voter desrĂ©solutions, mais pour Ă©viter les dĂ©rives qui s’étaient produites sous la 3e et la 4e RĂ©publique, la reforme a en... LOI no 2001-434 du 21 mai 2001 tendant Ă  la pr?judice des dates comm?moratives propres ? chacun des d?partements d'outre-mer. Article 4 Le dernier alin?a de l'article unique de la loi no 83-550 du 30 juin 1983 relative ? la comm?moration de l'abolition de l'esclavage est remplac? par trois alin?as ainsi r?dig?s ??Un d?cret fixe la date de la comm?moration pour chacune des collectivit?s territoriales vis?es ci-dessus ; ??En France m?tropolitaine, la date de la comm?moration annuelle de l'abolition de l'esclavage est fix?e par le Gouvern... Droit commercial Article 6 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire permet de constater que les travaux ont ete ache- ves conformement au projet initial. La reception peut etre amiable ou judiciaire. La reception amiable le constructeur informe son client que les travaux sont acheves et fixe une date a laquelle la recep- tion pourra avoir lieu. Au cours de la visite, l'ac- quereur note tous les &- farts et non-conformites qu'il a constates et consigne ces remarques par ecrit. A l'issue de la visite, l'acquereur peut sort accepter l'ouvrage, avec ou sans reserv... Article 18 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire engagee. II peut s'agir, par exemple, du refus d'ins- crire des questions sup- plementaires a l'ordre du jour de rassemblee, du retard a contacter des en- treprises pour realiser des travaux urgents, de sa ne- gligence concemant la re- pression des infractions au reglement de copropriete commises par des occu- pants occasionnant un trouble. Le non-recouvre- ment des charges II appartient au syndic de recouvrer les charges au- pres des coproprietaires. S'il tarde deliberement ou exagerement a l... Article 18 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire 10 % du coot reel des tra- vaux. Ces travaux doivent remplirtrois conditions - leur montant doit etre au moins egal a la demiere armee de loyer ; - it doit s'agir de travaux d'amelioration et non de simple entretien, tant dans le logement lui-meme que dans lesparties com- munes de l'immeuble si ce sont les parties com- munes d'un immeuble en copropriete, seule la quote-part a la charge du bailleur estprise en compte ; - ils doivent avoir ete rea- lises au cours du bail initial ou depuis son... Article 8 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire Le montant du sous-loyer II est fixe, en fonction du loyer principal, au prorata de la superficie des locaux sous-loues. De surcrolt, le locataire devra, comme le locataire princi- pal, payer une part pro- portionnelle des charges. La sous-location ne doit pas donner lieu a une ma- joration de loyer dans les cas suivants - vous occupez suffisam- ment les locaux ; - vous etes age de plus de 70 ans ; - vous etes grand invalide de guerre ou invalide civil a 80 %; - vous sous-louez partiel- leme... Article 22 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire peut tirer profit de la somme qu'il detient. La restitution A la fin du bail, le proprietaire doit restituer au locataire le depot de garantie dans un Mai maximum de 2 mois suivant la remise des cies. Au-dela de ce delai, le depot produit in- teret au taux legal au pro- fit du locataire. Toutefois, le locataire attendra sou- vent le reglement des charges de copropriete de I'immeuble pour que son compte soit sold& En cas d'abus, it pourra se retour- ner contre le bailleur. Le proprietaire peut... Fiche droit administratif Exemple le plus connu arrĂȘt du 3 fĂ©vrier 1978 CFDT et CGT . relatif aux contraventions comportant des peines privatives de libertĂ©. CE voulait crĂ©er ces contraventions, tandis que le CC°L avait rejetĂ© la possibilitĂ© d'Ă©dicter par voie rĂ©glementaire des contraventions comprenant des peines d' il faut une loi pour prĂ©voir un emprisonnement et pas une mesure rĂ©glementaire, -malgrĂ© l'article 62 de la constitution en vertu duquel les dĂ©cisions du CC°L s'impose aux pouvoir... Article 2 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire - les parties de canalisa- tions propres a l'usage du local, a 'exclusion de 'installation du chauffage central ; - les installations sanitai- res ; - les installations de la cui- sine evier ; - les placards et pende- ries ; - l'encadrement et, le cas echeant, les dessus de cheminees. Les parties privatives sont la propriete exclusive de chaque proprietaire. Les cloisons separatives d'ap- partement, les separations des caves et garages sont mitoyennes entre les co- proprietaires voisins...»... Insanity planning Loi du 10 juillet 1965, article 3 commentaire Article de la loi du 10 juillet 1965 commentaire gistes entrainent des coUts trop eleves pour la copropriete, l'assemblee generale peut imposer au syndic de lancer de nou- veaux appels d'offres afin de selectionner les presta- taires proposant les prix les plus competitifs. Rene- gocier les contrats peut aussi permettre aux occu- pants de realiser de sub- stantielles economies. La repartition ille- gale Si un coproprietaire conteste le pdncipe merne de larepartition descharges par l'assemblee generale, ou s'il pretend que la majorite necess... Article 4 de la loi du 13 juillet 1979 commentaire Le Toyer Les plafonds de loyer sont fixes a 55 F/m2 par mois en Ile- de-France eta 45 F/m2 par mois dans les autres regions. Le loyer s'etablira en fonction des reve- nus du futur locataire et de sa situation familiale. Exemples - En Ile-de-France un ce- libataire paiera un loyer de 2 150 F pour un revenu mensuel de 12 000 F. Un couple avec deux enfants dont les deux conjoints travaillent paiera un loyer de 4 850 F pour des reve- nus mensuels de 25 000 F ; - Dans les autres regions un cel... Quintessence d'Alcools de Guillaume Apollinaire TD n°5 DISSERTATION Sujet La place de la loi dans la hiĂ©rarchie des normes. Dissertation L’ouverture du mariage aux couples homosexuels constitue-t-elle une Ă©volution ou une rĂ©volution ? ans, on passe d’une unique forme d’union a une plus grande diversitĂ©. Nous pouvons remarque qu’entre mariage, pacs et concubinage, les frontiĂšres s’estompent peu Ă  peu, pour faire ressortir un droit commun du couple ». Les rĂ©formes du droit de la famille ont adaptĂ© la loi civile aux changements des mƓurs. Ces Ă©volutions n’ont pas toujours plus Ă  tout le monde ni su convaincre la majoritĂ©. Des personnes demeurent trĂšs conservatrices, ou ont des opi... dissertation Sujet 1 CORRIGÉ 1. Dans ce texte, il s’agit pour Hobbes de dĂ©terminer ce que doit ĂȘtre une loi pour ĂȘtre une bonne loi. L’idĂ©e a pour elle la simplicitĂ© de l’évidence une bonne loi, c’est une loi qui satisfait aux exigences de ce qu’une loi doit ĂȘtre, c’est-Ă -dire qui en remplit la ïŹnalitĂ©. De mĂȘme que la maniĂšre la plus simple de dĂ©ïŹnir un marteau, c’est encore de dire qu’il s’agit d’un outil destinĂ© Ă  enfoncer des clous, de mĂȘme ici Hobbes entend dĂ©ïŹnir la loi par le but qui est le sien ; or... Article 5 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire jouissance des lieux ainsi que ses obligations paie- ment des charges recupe- rabies dependent en grande partie du regle- ment de copropriete. Le bailleur est tenu de corn- muniquer au locataire les extraits de ce reglement concernant la destination de l'immeuble, la jouis- sance et 'usage des parties privatives et communes. Le locataire doit aussi etre informe sur la quote-part de charges qu'il doit ac- quitter en plus de son loyer. Les references de loyer Le bailleur doit joindre ces ref... UNIVERSITE MONTESQUIEU - BORDEAUX IV ECOLE DOCTORALE DE DROIT E. Article 2 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire La decision de l'as- semblee generale Le projet de travaux doff etre approuve a la majorite des voix de tous les copro- prietaires presents ou re- presentes. Si la decision n'a pu etre votee, l'assemblee generale pourra se reunir une seconde fois pour sta- tuer sur ce point Et cette fois la majorite simple des coproprietaires pourra l'emporter. Criteres retenus L'assemblee generale se prononce en fonction de plusieurs criteres le pro- jet va-t-il contrarier la vocation initiale de l'im- me... Cours de droit Constitutionnel LA LOI D'ORIENTATION DU 10 JUILLET 1989 Fiche synthĂšse construite par Sylvain sylvain. professionnelles et 80 % au niveau du baccalaurĂ©at ». Il s'agit d'Ă©lever le niveau gĂ©nĂ©ral de formation de tous les jeunes. NouveautĂ©s introduites par la loi ‱ L'organisation de la scolaritĂ© en cycles 3 cycles, de la maternelle au CM2. =prendre en compte les diffĂ©rents rythmes d’apprentissage des Ă©lĂšves. Ils assurent la continu itĂ© des apprentissages. Le cycle des apprentissages premiers cycle 1 se d Ă©roule Ă  l’école maternelle, de la PS Ă  la GS. Le cycle des apprent issages fo... Article 1er de la loi n° 91-646 du 10 juillet 1991 commentaire II est interdit d'intercepter, de detourner, de detruire ou de prendre connais- sance de mauvaise foi d'une correspondance privee. Cette interdiction porte sur les correspon- dances &rites, arrivees a destination ou non, et toutes les correspon- dances transmises par vole de telecommunication ecoutes telephoniques sauvages ». Les peines encourues sont de I an d'emprisonnement et 300 000 F d'amende ; - une reglementation particuliere vise toutes les personnes investies dune mission de service... Loi 91-647 de la loi du 10 juillet 1991 commentaire gralement pHs en charge. En cas d'aide partielle, l'avocat est en partie in- demnise par l'Etat et peut demander a son client un honoraire complemen- taire librement fixe, mais proportionnel aux possi- bikes de son client Demande Presenter un dossier retire en mairie ou dans les bureaux d'ac- cueil des tribunaux, avant ou pendant le proces, au bureau d'aide juridiction- nelle du tribunal de grande instance du domicile du demandeur ou du ressort dans lequel l'affaire dolt etre jugee. En cas de... dissertation la loi dans la DDHC la dĂ©claration des droits de l'homme et du citoyen ? Son impact est tr Ăšs important, c'est la raison pour laquelle nous allons l'etudier a travers les objectifs de la loi I, ainsi que sa pr Ă©sence qui se g Ă©nĂ©ralise II I les objectifs de la loi dans la DDHC La d Ă©claration des droits de l'homme et du citoyen se veux pr Ă©curseur du fondement du nouveau r Ă©gime, l'application de la loi permet de faire une v Ă©ritable rupture avec l'ancien r Ă©gime A, et d'etre aussi la base d'u... La loi est-elle l'expression de la volontĂ© gĂ©nĂ©rale sous la Veme RĂ©publique ? des constituants ou du peuple. Notre bicamĂ©risme est inĂ©galitaire. Le SĂ©nat n'est pourtant pas qu'une pĂąle copie del'AssemblĂ©e. Il est investi d'une fonction spĂ©cifique de reprĂ©sentation des collectivitĂ©s territoriales, comme stipulĂ©dans l'article 24, et tout projet de loi ayant pour principal objet l'organisation des collectivitĂ©s territoriales »doivent dĂ©sormais ĂȘtre soumis en premier lieu au SĂ©nat, selon l'article Cette fonction s'illustre Ă©galement Ă travers son mode d'Ă©lection.... Le pouvoir exĂ©cutif et le pouvoir lĂ©gislatif sous la Restauration et la Monarchie de Juillet question des rapports entre les ministres et le pouvoir lĂ©gislatif. L’article 13 de la Charte de 1814 stipule Lapersonne du roi est inviolable et sacrĂ©e. Ses ministres sont responsables. [
] ». L’article 55 prĂ©cise que lesministres ont une responsabilitĂ© pĂ©nale La Chambre des dĂ©putĂ©s a la droit d’accuser les ministres, et de lestraduire devant la Chambre des paire qui seule a celui de les juger. ». Mais qu’en est-il de la responsabilitĂ©politique ? La Charte n’apport... Dissertation en droit administratif La supĂ©rioritĂ© du droit international et communautaire sur la loi. A. Affirmation de la supĂ©rioritĂ© du droit international et communautaire sur la loi par la reconnaissance du contrĂŽle de conventionalitĂ© induisant un rapporthiĂ©rarchique entre les deux Le Conseil constitutionnel ayant donnĂ© en aval la possibilitĂ© aux juridictions ordinaires » d'effectuer un contrĂŽle de conventionalitĂ© des lois par voie d'exceptions,celles-ci s'empressĂšrent de l' Cour de cassation avec l'arrĂȘt SociĂ©tĂ© des CafĂ©s Jacques Vabre rendu en chambre mixte le 24 mai 1975, fut... Article 2 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire Article 21 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire Les recours judi- ciaires Ce sont - La resolution devant le tribunal si le bail n'a pas prevu de clause reso- lutoire, le bailleur peut s'adresser au juge du tribu- nal d' le dossier des deux parties, et, le cas echeant, pronon- cera la resolution judi- ciaire. - L'expulsion lorsque le locataire a regu un cone pour non-paiement du loyer ou des charges et qu'il refuse de quitter les lieux, le proprietaire est en droit d'entamer une pro- cedure d'expulsion. Cette mesure... Article 5 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire En ce qui concerne les frais d'entretien des vide- ordures circulent les insectes, la gaine et le local de reception au pied de la gaine constituent des par- ties communes. Les vidoirs situ& dans les apparte- ment sont en revanche consider& comme parties privatives. Toutefois, s'il existe une Porte de vide- ordures par etage desser- vant plusieurs locaux pri- vatifs, le vidoir ainsi que le local de vide-ordures d'etage sont parties com- munes. Les depenses de repara- tion et d'entretien des par-... Article 16-11, alinĂ©a 2, du Code civil introduit par l'article 5 de la loi n° 94-653 du 29 juillet 1994 relative au respect du corps humain tout au plus tirer du refus de soumettre l'aveu de la patemite ou au moins une presomption de mauvaise foi. Quand ? II est impos- sible d'avoir recours a 'iden- tification genetique dun indi- vidu en dehors de toute procedure judiciaire. Une personne ne peut donc avoir recours a ses methodes d'identification dans la simple intention de se rassurer. Seules les actions tendant soit a l'etablissement ou la contestation d'une filia- tion, soit a l'obtention ou a L suppression de subsides voir fich... Article 2 de la loi du 6 janvier 1986 Article 20 commentaire ture, le vendeur doit vous communiquer les statuts de la societe, le reglement de l'immeuble, ainsi que le tableau d'affectation des parts. Les charges de lo- gement Les charges concemant l'entretien des parties communes hall d'entree, couloirs, installa- tions sportives sont fixees proportionnellement aux parts acquises par l'ac- quereur. Les charges concernant les services collectifs comme le chauf- fage sont calculees en fonction de l'utilite que ces services representent pour chaque lot.... RĂ©vision Consititutionnelle 1 Le Conseil constitutionnel n'a pas eu l'occasion de se prononcer sur la question de savoir si la rĂ©daction issue du 1°de l'article 4 de la loi constitutionnelle n° 2008-724 du 23 juillet 2008 entre en vigueur au lendemain de la publication de cette loi constitutionnelle 25 juillet 2008 ou dans les conditions fixĂ©es par le I de l'article 46 de cette mĂȘme loi constitutionnelle. 2 La loi organique n°2013-1114 du 6 dĂ©cembre 2013 portant application de l'article 11 de la Constitution et prĂ©vue Ă ... Analyse Article 314 du code civil Chapitre III des actions relatives Ă  la filiation art. 318 Ă  337 1/ dispositions gĂ©nĂ©rales 2/ des actions aux fins d'Ă©tablissement de la filiation 3/ des actions en contestation de la filiation Chapitre IV de l'action aux fins de subsides art. 342 Ă  342-8 II - Le nouveau rĂ©gime de la filiation A- Dispositions gĂ©nĂ©rales Le premier article art. 310, issu le la loi du 4 mars 2002 relative Ă  l'autoritĂ© parentale, affirme l'Ă©galitĂ© des filiations "Tous les enfants dont la filiation est... Ellefixe alors, Ă  la mĂȘme majoritĂ©, la rĂ©partition du coĂ»t des travaux. « Si vous n’avez pas donnĂ© votre accord Ă  la dĂ©cision prise, l’article 33 de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 vous autorise Ă  demander l’étalement de la part du coĂ»t de ces travaux mise Ă  votre charge. Cette possibilitĂ© vous concerne si vous vous Loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątisChronoLĂ©gi Article 41-4 - Loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 30 dĂ©cembre 2015 Naviguer dans le sommaire L'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, sur proposition du conseil syndical, choisit, Ă  la majoritĂ© de l'article 25 ou, le cas Ă©chĂ©ant, de l'article 25-1, les prestataires appelĂ©s Ă  fournir les services spĂ©cifiques individualisables. Elle approuve, par un vote distinct et selon les mĂȘmes modalitĂ©s, les termes de la convention envisagĂ©e avec les prestataires choisis ayant pour objet le prĂȘt gratuit des parties communes affectĂ©es Ă  ces services, Ă©tablie dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article 41-3. La durĂ©e des contrats de prestations conclus par chaque occupant avec les prestataires ne peut excĂ©der celle du prĂȘt dont ces derniers bĂ©nĂ©ficient. Loi n° 2015-1776 du 28 dĂ©cembre 2015, article 91 "Les articles 41-1 Ă  41-6 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis, dans leur rĂ©daction rĂ©sultant du I de l'article 14 de la prĂ©sente loi, s'appliquent Ă  l'expiration d'un dĂ©lai de six mois suivant la promulgation de la prĂ©sente rĂ©sidences-services dont le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© a Ă©tĂ© publiĂ© avant l'expiration du dĂ©lai mentionnĂ© au premier alinĂ©a du prĂ©sent article restent rĂ©gies par les articles 41-1 Ă  41-5 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 prĂ©citĂ©e, dans leur rĂ©daction antĂ©rieure Ă  la prĂ©sente loi. Le 4° de l'article L. 7232-1-2 du code du travail, dans sa rĂ©daction antĂ©rieure Ă  l'article 15 14 1 de la prĂ©sente loi, leur demeure ces rĂ©sidences-services, le syndic inscrit chaque annĂ©e Ă  l'ordre du jour de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires la question de la mise en conformitĂ© du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© avec les articles 41-1 et 41-2 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 prĂ©citĂ©e, dans leur rĂ©daction rĂ©sultant de la prĂ©sente loi. La dĂ©cision de procĂ©der Ă  la modification du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© est prise Ă  la majoritĂ© prĂ©vue Ă  l'article 26 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 prĂ©citĂ©e. La mise en conformitĂ© du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© entraĂźne l'application des articles 41-1 Ă  41-6 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 prĂ©citĂ©e, dans leur rĂ©daction rĂ©sultant du I de l'article 14."lire l'article 15Retourner en haut de la page article10-1 de la loi du 10 juillet 1965. 0. Par JURISTE_AFCopro Comptabilit Ă©. Recouvrement des charges. Qui doit supporter les frais de mise en demeure ? Face Ă  un dĂ©biteur, le syndicat Lire la suite. Recherche. Afficher la recherche. ThĂ©mes. ThĂ©mes
"Vu les articles 24, 25 c et 25-1 de la loi du 10 juillet 1965, ensemble l'article 19 du dĂ©cret du 17 mars 1967 ; Attendu, selon ces textes, que, lorsque l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires n'a pas dĂ©cidĂ© Ă  la majoritĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires et que le projet n'a pas recueilli au moins le tiers des voix, une nouvelle assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale peut statuer Ă  la majoritĂ© prĂ©vue Ă  l'article 24 de la loi du 10 juillet 1965 ; Attendu, selon l'arrĂȘt attaquĂ© Montpellier, 30 dĂ©cembre 2014, que, l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires de la rĂ©sidence Les Portes du Soleil du 31 mars 2011 n'ayant pas votĂ© le projet de rĂ©solution relatif Ă  la dĂ©signation du syndic en raison de l'insuffisance de copropriĂ©taires prĂ©sents, une seconde assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, convoquĂ©e le 27 juin 2011 en application de l'article 25-1 de la loi du 10 juillet 1965, a adoptĂ© une rĂ©solution dĂ©signant le syndic et approuvant les conditions de son contrat ; que M. X... a assignĂ© le syndicat des copropriĂ©taires en annulation de cette dĂ©cision ; Attendu que, pour rejeter la demande, l'arrĂȘt retient que le contrat prĂ©sentĂ© Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011 ne comporte pas de modification substantielle par rapport Ă  celui prĂ©sentĂ© Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 31 mars 2011 et que les modifications vont dans un sens favorable au syndicat ; Qu'en statuant ainsi, alors que le projet de dĂ©libĂ©ration soumis Ă  la seconde assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale statuant en application de l'article 25-1 de la loi du 10 juillet 1965 doit ĂȘtre identique Ă  celui sur lequel l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale n'a pas statuĂ© Ă  la majoritĂ© de l'article 25, la cour d'appel a violĂ© les textes susvisĂ©s ; PAR CES MOTIFS CASSE ET ANNULE, dans toutes ses dispositions, l'arrĂȘt rendu le 30 dĂ©cembre 2014, entre les parties, par la cour d'appel de Montpellier ; remet, en consĂ©quence, la cause et les parties dans l'Ă©tat oĂč elles se trouvaient avant ledit arrĂȘt et, pour ĂȘtre fait droit, les renvoie devant la cour d'appel d'Aix-en-Provence ; Condamne le syndicat des copropriĂ©taires rĂ©sidence Les Portes du Soleil aux dĂ©pens ; Vu l'article 700 du code de procĂ©dure civile, rejette la demande du syndicat des copropriĂ©taires rĂ©sidence Les Portes du Soleil et le condamne Ă  payer Ă  M. X... la somme de 3 000 euros ; Dit que sur les diligences du procureur gĂ©nĂ©ral prĂšs la Cour de cassation, le prĂ©sent arrĂȘt sera transmis pour ĂȘtre transcrit en marge ou Ă  la suite de l'arrĂȘt cassĂ© ; Ainsi fait et jugĂ© par la Cour de cassation, troisiĂšme chambre civile, et prononcĂ© par le prĂ©sident en son audience publique du douze mai deux mille seize. MOYEN ANNEXE au prĂ©sent arrĂȘt Moyen produit par Me Haas, avocat aux Conseils, pour M. X.... Il est fait grief Ă  l'arrĂȘt attaquĂ© D'AVOIR dĂ©boutĂ© M. X... de sa demande en nullitĂ© de la rĂ©solution n° 2 de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011 ; AUX MOTIFS PROPRES QUE le projet de contrat joint au projet de rĂ©solution n° 6 prĂ©sentĂ© lors de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011 ne comportait pas de modification substantielle, la sociĂ©tĂ© candidate aux fonctions de syndic ayant, pour l'essentiel, rĂ©duit Ă  la baisse ses tarifs, Ă©tendu ses prestations, aucun texte d'ordre public ne sanctionnant de nullitĂ© une telle modification qui va dans un sens favorable au syndicat des copropriĂ©taires et donc, Ă  chaque copropriĂ©taire ; qu'en toute hypothĂšse, le principe mĂȘme de la dĂ©signation et l'approbation du contrat ont Ă©tĂ© votĂ©s Ă  la majoritĂ© de l'article 25 ; ET AUX MOTIFS ADOPTÉS QU'aux termes des articles 25 c et 25-1, alinĂ©a 2, de la loi du 10 juillet 1965 ne sont adoptĂ©es qu'Ă  la majoritĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires les dĂ©cisions concernant la dĂ©signation ou la rĂ©vocation du ou des syndics et des membres du conseil syndical et que lorsque le projet n'a pas recueilli au moins le tiers des voix de tous les copropriĂ©taires, une nouvelle assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, si elle est convoquĂ©e dans le dĂ©lai maximal de trois mois, peut statuer Ă  la majoritĂ© de l'article 24, Ă  savoir celle des voix exprimĂ©es des copropriĂ©taires prĂ©sents ou reprĂ©sentĂ©s ; qu'en l'occurrence, la convocation Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 31 mars 2011 dĂ©finit l'objet de la dĂ©libĂ©ration comme Ă©tant l'Ă©lection du syndic, dĂ©finition de la durĂ©e et approbation du contrat » et propose de dĂ©signer la Sarl CL Conseils pour une durĂ©e de trois ans et d'approuver les conditions du contrat de syndic joint Ă  la convocation ; que la convocation Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011 rĂ©solution n° 2 est rĂ©digĂ©e en des termes identiques ; qu'il ne peut donc ĂȘtre soutenu que n'a pas Ă©tĂ© soumis Ă  un second vote le projet prĂ©cĂ©dent alors qu'ont Ă©tĂ© respectĂ©es les formalitĂ©s substantielles de l'article 19 du dĂ©cret du 17 mars 1967 qui imposent de soumettre Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale un projet de contrat pour dĂ©terminer les conditions de la mission du syndic, Ă  savoir essentiellement la dĂ©finition de ses attributions et fixer le montant de ses honoraires sans que les modifications apportĂ©es entre temps au contrat par le syndic et qui vont dans le sens d'une offre plus avantageuse puissent conduire Ă  retenir qu'il s'agirait d'un nouveau projet de rĂ©solution au sens des dispositions rappelĂ©es ci-dessus ; qu'en tout Ă©tat de cause, la contestation est totalement vaine pour cette raison que cette seconde dĂ©libĂ©ration a Ă©tĂ© prise Ă  la majoritĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires puisqu'elle a rĂ©uni 535 tantiĂšmes sur dĂšs lors que, comme l'indique exactement M. X..., la copropriĂ©tĂ© est divisĂ©e en tantiĂšmes, alors qu'il ne peut feindre d'ignorer que les 635 tantiĂšmes mentionnĂ©s correspondent Ă  ceux dĂ©tenus par les 27 copropriĂ©taires prĂ©sents ou reprĂ©sentĂ©s Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011 ; ALORS, 1° QUE si l'article 25-1 de la loi du 10 juillet 1965 prĂ©voit que lorsqu'une dĂ©cision devant, en principe, ĂȘtre prise Ă  la majoritĂ© des tous les copropriĂ©taires, n'a pas recueilli cette majoritĂ© lors d'une premiĂšre assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, une nouvelle assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, si elle est convoquĂ©e dans le dĂ©lai maximal de trois mois, peut statuer Ă  la majoritĂ© de l'article 24, son application suppose que la dĂ©cision ait Ă©tĂ© soumise Ă  un vote lors de la premiĂšre assemblĂ©e ; qu'en validant la dĂ©libĂ©ration n° 2 de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011, portant dĂ©signation du syndic, prise Ă  la majoritĂ© de l'article de la loi du 10 juillet 1965, cependant que cette dĂ©libĂ©ration n'avait Ă©tĂ© soumise Ă  aucun vote lors de la prĂ©cĂ©dente assemblĂ©e prĂ©cĂ©dente du 31 mars 2011, la cour d'appel a violĂ© les articles 24, 25 c et 25-1 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 ; ALORS, 2° et en tout Ă©tat de cause, QUE le recours Ă  l'article 25-1 de la loi du 10 juillet 1965 suppose que le projet de dĂ©libĂ©ration soumis Ă  la seconde assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale soit le mĂȘme que celui qui n'a pas recueilli, lors de la premiĂšre assemblĂ©e, la majoritĂ© de tous les copropriĂ©taires ; qu'en considĂ©rant que si les deux projets de contrats de syndic successivement proposĂ©s au vote des copropriĂ©taires comportaient des diffĂ©rences, celles-ci n'emportaient pas de modification substantielle et Ă©taient plus avantageuses pour les copropriĂ©taires, aprĂšs avoir pourtant relevĂ© ces diffĂ©rences portaient notamment sur la durĂ©e du contrat et sur la rĂ©munĂ©ration du syndic, ce dont il rĂ©sultait qu'elles portaient sur des Ă©lĂ©ments essentiels du contrat et qu'il importait, peu dans ces conditions, que les nouvelles conditions soient plus avantageuses pour les copropriĂ©taires, la cour d'appel a violĂ© les articles 24, 25 c et 25-1 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 ; ALORS, 3°, QUE la dĂ©signation du syndic et l'approbation des termes de son contrat Ă©tant indivisibles, seul un syndic dont les termes du contrat ont Ă©tĂ© approuvĂ©s Ă  la majoritĂ© de tous les copropriĂ©taires est valablement dĂ©signĂ© ; qu'en considĂ©rant que lors de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011, la dĂ©signation de la sociĂ©tĂ© CL Conseils en qualitĂ© de syndic avait recueilli la majoritĂ© des voix des copropriĂ©taires pour en dĂ©duire que cette dĂ©signation Ă©tait rĂ©guliĂšre au regard des dispositions de l'article 25 de la loi du 10 juillet 1965 sans rechercher, comme elle y avait Ă©tĂ© invitĂ©e, si la durĂ©e du contrat n'avait pas Ă©tĂ© approuvĂ©e seulement Ă  la majoritĂ© des copropriĂ©taires prĂ©sents ou reprĂ©sentĂ©s, la cour d'appel n'a pas donnĂ© de base lĂ©gale Ă  sa dĂ©cision au regard de l'article 25 c de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965." Par Christophe Buffet Avocat au barreau d'Angers
CetterĂ©solution sera Ă  soumettre Ă  la majoritĂ© de l’article 25 de la Loi du 10 juillet 1965, et en application en application de l’article 25.1 de la mĂȘme loi, Ă  la majoritĂ© de l’article 24 Ă  l’occasion d’un second vote si le premier a recueilli au moins le tiers des voix de tous les copropriĂ©taires. Dans cette attente, je vous prie de recevoir, Madame, Monsieur, mes
Toute promesse unilatĂ©rale de vente ou d'achat, tout contrat rĂ©alisant ou constatant la vente d'un lot ou d'une fraction de lot mentionne la superficie de la partie privative de ce lot ou de cette fraction de lot. La nullitĂ© de l'acte peut ĂȘtre invoquĂ©e sur le fondement de l'absence de toute mention de superficie est dĂ©finie par le dĂ©cret en Conseil d'Etat prĂ©vu Ă  l'article dispositions du premier alinĂ©a ci-dessus ne sont pas applicables aux caves, garages, emplacements de stationnement ni aux lots ou fractions de lots d'une superficie infĂ©rieure Ă  un seuil fixĂ© par le dĂ©cret en Conseil d'Etat prĂ©vu Ă  l'article bĂ©nĂ©ficiaire en cas de promesse de vente, le promettant en cas de promesse d'achat ou l'acquĂ©reur peut intenter l'action en nullitĂ©, au plus tard Ă  l'expiration d'un dĂ©lai d'un mois Ă  compter de l'acte authentique constatant la rĂ©alisation de la signature de l'acte authentique constatant la rĂ©alisation de la vente mentionnant la superficie de la partie privative du lot ou de la fraction de lot entraĂźne la dĂ©chĂ©ance du droit Ă  engager ou Ă  poursuivre une action en nullitĂ© de la promesse ou du contrat qui l'a prĂ©cĂ©dĂ©, fondĂ©e sur l'absence de mention de cette la superficie est supĂ©rieure Ă  celle exprimĂ©e dans l'acte, l'excĂ©dent de mesure ne donne lieu Ă  aucun supplĂ©ment de la superficie est infĂ©rieure de plus d'un vingtiĂšme Ă  celle exprimĂ©e dans l'acte, le vendeur, Ă  la demande de l'acquĂ©reur, supporte une diminution du prix proportionnelle Ă  la moindre en diminution du prix doit ĂȘtre intentĂ©e par l'acquĂ©reur dans un dĂ©lai d'un an Ă  compter de l'acte authentique constatant la rĂ©alisation de la vente, Ă  peine de dĂ©chĂ©ance.
Article22, alinĂ©as 2 et 3, de la loi du 10 juillet 1965 (n° 65-557) : « Chaque copropriĂ©taire dispose d'un nombre de voix correspondant Ă  sa quote-part dans les parties communes. Toutefois, lorsqu'un copropriĂ©taire possĂšde une quote-part des parties communes supĂ©rieure Ă  la moitiĂ©, le nombre de voix dont il dispose est rĂ©duit Ă  la somme des voix des autres copropriĂ©taires N° 3430 _____ ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE EnregistrĂ© Ă  la PrĂ©sidence de l’AssemblĂ©e nationale le 11 mai 2011. PROPOSITION DE LOI relative Ă  la modification de l’article 22 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis, RenvoyĂ©e Ă  la commission des affaires Ă©conomiques, Ă  dĂ©faut de constitution d’une commission spĂ©ciale dans les dĂ©lais prĂ©vus par les articles 30 et 31 du RĂšglement.prĂ©sentĂ©e par Mme Christine MARIN, dĂ©putĂ©e. EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, Majoritairement urbaines, les copropriĂ©tĂ©s rassemblent aujourd’hui plus de sept millions et demi de logements sur notre territoire. C’est une organisation qui fonctionne sous le rĂ©gime de l’indivision forcĂ©e et qui permet de planifier, d’entretenir, et d’organiser un immeuble bĂąti ou un groupe d’immeubles bĂątis. La copropriĂ©tĂ© joue un rĂŽle important dans l’intĂ©gration des nouveaux propriĂ©taires, elle crĂ©e donc du lien social entre l’ensemble des rĂ©sidents. Ce rĂ©gime s’est dĂ©veloppĂ© durant le XXe siĂšcle, suite Ă  la revente d’immeubles Ă  diffĂ©rents propriĂ©taires qui appartenaient jusque lĂ  qu’à un seul individu. La loi du 28 juin 1938 est le premier texte qui reconnaĂźt le statut de la copropriĂ©tĂ© et il sera remplacĂ© par la loi du 10 juillet 1965. ConformĂ©ment Ă  ce texte, toutes les dĂ©cisions concernant la copropriĂ©tĂ© sont prises en assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, votĂ©es par les propriĂ©taires directement ou leurs mandataires. Pourtant on remarque que des personnes peuvent recevoir dĂ©lĂ©gation sans rĂ©sider dans l’immeuble bĂąti et sans avoir aucun lien de parentĂ© avec le propriĂ©taire. L’article 22 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis prĂ©cise que tout copropriĂ©taire peut dĂ©lĂ©guer son droit de vote Ă  un mandataire, que ce dernier soit ou non membre du syndicat ». On peut alors s’étonner de voir que des mandataires qui n’ont aucun intĂ©rĂȘt Ă  adopter, ou Ă  rĂ©futer une proposition puissent, s’ils ont eu dĂ©lĂ©gation, participer au vote de la copropriĂ©tĂ©. Pour garantir le bon fonctionnement et assurer la pĂ©rennitĂ© de cette organisation, il semble important de modifier cet article pour que ce soit les propriĂ©taires membres du syndicat exclusivement qui puissent voter lors des assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales. PROPOSITION DE LOI Article unique L’article 22 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 est ainsi rĂ©digĂ© Art. 22. – Le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© dĂ©termine les rĂšgles de fonctionnement et les pouvoirs des assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales, sous rĂ©serve des dispositions du prĂ©sent article, ainsi que de celles des articles 24 Ă  26 ci-dessous. Chaque copropriĂ©taire dispose d’un nombre de voix correspondant Ă  sa quote-part dans les parties communes. Toutefois, lorsqu’un copropriĂ©taire possĂšde une quote-part des parties communes supĂ©rieure Ă  la moitiĂ©, le nombre de voix dont il dispose est rĂ©duit Ă  la somme des voix des autres copropriĂ©taires. Tout copropriĂ©taire peut dĂ©lĂ©guer son droit de vote Ă  un mandataire, membre du syndicat ou de la copropriĂ©tĂ©. Chaque mandataire ne peut, Ă  quelque titre que ce soit, recevoir plus de trois dĂ©lĂ©gations de vote. Toutefois, un mandataire peut recevoir plus de trois dĂ©lĂ©gations de vote si le total des voix dont il dispose lui-mĂȘme et de celles de ses mandants n’excĂšde pas 5 p. 100 des voix du syndicat. Le mandataire peut, en outre, recevoir plus de trois dĂ©lĂ©gations de vote s’il participe Ă  l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale d’un syndicat principal et si tous ses mandants appartiennent Ă  un mĂȘme syndicat secondaire. Le syndic, son conjoint, le partenaire liĂ© Ă  lui par un pacte civil de solidaritĂ©, et ses prĂ©posĂ©s ne peuvent prĂ©sider l’assemblĂ©e ni recevoir mandat pour reprĂ©senter un copropriĂ©taire. »
Ilest, à ce sujet, renvoyé à l'article publié sur ce site, commentant la réforme de la saisie immobiliÚre en application depuis le 1er janvier 2007. Il est rappelé que le Syndicat bénéficie : - De l'hypothÚque légale régie par l'article 19 de la loi du 10 juillet 1965 (objet de la publication du jugement aux hypothÚques)
Les copropriĂ©taires sont tenus de participer aux charges entraĂźnĂ©es par les services collectifs et les Ă©lĂ©ments d'Ă©quipement commun en fonction de l'utilitĂ© que ces services et Ă©lĂ©ments prĂ©sentent Ă  l'Ă©gard de chaque lot. Ils sont tenus de participer aux charges relatives Ă  la conservation, Ă  l'entretien et Ă  l'administration des parties communes et de verser au fonds de travaux mentionnĂ© Ă  l'article 14-2 la cotisation prĂ©vue au mĂȘme article, proportionnellement aux valeurs relatives des parties privatives comprises dans leurs lots, telles que ces valeurs rĂ©sultent des dispositions de l'article 5. Le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© fixe la quote-part affĂ©rente Ă  chaque lot dans chacune des catĂ©gories de charges. Tout rĂšglement de copropriĂ©tĂ© publiĂ© Ă  compter du 31 dĂ©cembre 2002 indique les Ă©lĂ©ments pris en considĂ©ration et la mĂ©thode de calcul permettant de fixer les quotes-parts de parties communes et la rĂ©partition des charges.
. 286 383 475 181 262 787 269 313

article 10 1 de la loi du 10 juillet 1965