Surprisece jeudi midi en allant au bureau-tabac : une aide-soignante de Torcy (71) découvre un mot sur son pare-brise, lui demandant "de ne pas sortir de chez elle". Caducées autocollants 4 € HT frais de port gratuit Caducée autocollant format 90x150mm, se fixe tout simplement en retirant la bande protectrice au dos de l'étiquette se colle sur toutes surfaces lisses et propres en extérieur comme en intérieur.

Décembre- Janvier (le père d'un pote voyage au canada pour les fêtes de fin d'année, il choppe un truc style méchante grippe, ça dure un bon mois). Suivi de mon pote qui tombe malade (similaire grippe / fatigue) début janvier, lui ça dure une semaine, et finalement je tombe malade fin janvier, ça dure 2 jours à peine (syndrome grippale assez classique).

Livraison en France MétropoitaineLes modes d'expédition sont la lettre standard ou le Colissimo suivi, remis sans signature. Tous nos frais d'expédition sont offerts à partir de 30 euros TTC. Les délais vont de 3 à 7 jours suivant les produits satisfactionSi vous n'êtes pas satisfait de votre achat, vous êtes remboursé. Il suffit de nous retouner votre clientLe service client est a votre disposition du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 18hNous livrons avec la Poste Lettres protégées ou colissimo. Sur vos données bancaires sont sécurisées selon les dernières normes via la plate-forme sécurisée PCI DSS de Payplug. Établissement de paiement agréé Banque de France sous le numéro CIB 16778. Réglement également avec PayPal ou par chèque. Notre site partenaire
Aquoi consiste le rôle de l’aide-soignant aux urgences; L’avis de deux aide-soignantes faisant ce métier; Être aide-soignante aux urgences, ce n’est pas toujours facile au quotidien. Ce n’est pas facile dans aucun service, mais il est vrai qu’aux urgences, c’est un peu différent. Tant au niveau du rythme que du travail à faire
Un drap de glisse est utilisé par les soignants pour réhausser et redresser une personne alitée dans son lit. Les réponses à vos questions sur le drap de glisse ou drap de drap de glisse est un dispositif utilisé par les soignants ou des proches aidants pour déplacer des patients alités dans leur lit, les redresser, les faire passer d'une assise à l'autre, faire plus facilement leur drap de glisse est composé de matériaux glissants. Le tissu est 100% polyamide avec enduction polyuréthane traitée silicone. les deux couches de tissu en contact coulissent les unes sur les autres. À quoi sert un drap de glisse ?Le drap de glisse est un dispositif médical d’aide au transfert des personnes immobilisées dans un lit. Le drap de glisse se place sous le corps de la personne alitée. Il permet au personnel soignant de faire un transfert latéral ou vertical ou encore une rotation à 90° aux patients. Drap de glisse réduire les frottements et les tensions musculairesLe drap de glisse facilite le travail du personnel soignant ou d’un proche aidant en réduisant les frottements dus au poids du patient pendant les manipulations. Il permet de positionner les personnes alitées de manière à leur éviter des courbatures ou des tensions concernéesLe drap de glisse est utilisé chez les personnes alitées et qui glissent au fond du lit et ne peuvent pas remonter ;ont du mal à se tourner sur le côté pour la toilette ;ont peu de force dans les jambes ;ont peu de force dans les bras ;n’ont pas de force dans les bras ou les jambes. Le drap de glisse est employé dans les centres hospitaliers et surtout dans les EHPAD, les maisons de retraite et les résidences étapes de fonctionnementLe drap de glisse est placé sous la personne aidée. Si le soignant veut faire remonter dans son lit une personne qui a glissé, il place le drap sous le patient. Il se positionne sur le côté du lit pour que son pied d’arrivée soit à hauteur de la position souhaitée de la tête du patient. Il place ensuite un bras sous les jambes et de l’autre cherche un point d’appui pour s’aider. Il fléchit la jambe placée en bas du lit, puis effectue une fente latérale pour remonter la personne en haut du lit. Pour retirer le drap, il passe la main à l’intérieur du drap et tire sur la partie inférieure du quel moment l’utiliser ?Le drap de glisse est utilisé par le personnel soignant ou par des proches aidants pour facilement glisser une personne à mobilité réduite dans son lit plutôt que de le soulever. Il permet de la redresser, de la changer de position, de la déplacer sur le côté, de la redresser en position assise, de faire plus facilement sa drap de glisse permet également un transfert occasionnel d’un brancard à un lit, ou d’un lit à un autre dans le cas d’un changement de service médical ou d’un examen hospitalier particulier Scanner, IRM, etc..Précautions à prendreLes draps de glisse doivent être lavées à 70° pour éliminer les virus et bactéries éventuels. La largeur du drap doit correspondre à la largeur du lit médical et doit être supérieure à la largeur des épaules du longueur du drap doit être supérieure à la distance entre les fesses et la tête du dimensions idéales sont de 90x130cm. Les différents modèlesCertains modèles de drap de glisse sont équipés de poignées qui améliorent la saisie du draps de glisse proposent deux couches de tissus, l’une coté lit en polyamide avec enduction polyuréthane et l’autre, coté patient, en polyamide basique qui offre plus de résistance aux frottements et donc une meilleure stabilité du corps sur le drap de Des lecteurs ont trouvé cet article utile Et vous ?Cet article vous-a-t-il été utile ?À lire aussi Cedispositif désignerait une personne dans chaque pôle d’un hôpital qui soit chargée de connaître et de suivre l’utilisation des logiciels métiers et de redonner aux services de soins les clefs de la gestion des logiciels utilisés. En parallèle, cette disposition permettrait de commencer à effectuer le repositionnement des DSI
Et si les infirmiers libéraux jetaient eux aussi l’éponge ? C’est la panique en France ! Épidémie incontrôlable, sur contamination des soignants, non-respect des gestes barrières… Et au milieu de tout ça, les 140 000 infirmiers libéraux sont livrés à eux-mêmes ! Le PLFSS 2021 est en cours de discussions à l’Assemblée nationale. Nous sommes ravis de lire que les salaires des aides à domicile vont être revalorisés en espérant que les ASV seront bien bénéficiaires à 100 % de ces aides… Nous sommes ravis de lire que les EHPAD vont bénéficier d’aides supplémentaires pour mieux s’organiser et recruter… Au-delà du PLFSS, nous sommes ravis de voir la CGT rejoindre la discussion post Ségur… après une procédure. Du coup nous sommes ravis de voir le sourire de Nicolas Revel, qui a bientôt atteint les sommets de son ambition après avoir largement orchestré la déstructuration des soins à domicile, au côté de notre Premier ministre. Nous sommes ravis de voir les syndicats dits “représentatifs” des infirmiers libéraux se gausser d’obtenir tant d’avancées pour notre profession. Et enfin nous sommes ravis d’apprendre que l’État propose des indemnités supplémentaires pour les IDE qui voudraient renoncer à leurs congés tellement mérités en débloquant 2,4 milliards qu’ils auraient pu mettre sur la table lors du Ségur pour revalorise les salaires ! En réalité, les infirmiers libéraux demeurent les grands oubliés de notre système de santé Le PLFSS ne prévoit pas grand-chose pour nous à part un hypothétique métier intermédiaire entre infirmier et médecin qui nous laisse craindre la suprématie des IPA sur notre exercice sans jamais étendre nos compétences, officialiser des pratiques devenues courantes… Bref, rien de nouveau à l’horizon. Alors quelles solutions pour les IDEL à part cesser son activité libérale, écrasés que nous sommes par les charges incompressibles liées à notre activité et qui s’accentuent avec l’épidémie, nous contraignant à dépenser toujours plus pour nous protéger et protéger nos patients… Jeter l’éponge est la solution que nombre d’entre nous ont choisie ou choisiront quand cette épidémie prendra fin. Car y’en a marre d’être les grands oubliés de ce système ! Y’en a marre d’être les pantins de la cnam ! Y’en a marre que les médias ne parlent que de l’hôpital alors que la plupart des malades sont soignés à domicile ! Y’en a marre d’être méprisés par notre ministre, dont le simple fait de nommer les infirmiers libéraux semble lui brûler les lèvres. Aussi nous demandons aux syndicats qui ont le “privilège” de discuter avec les tutelles, je nomme CI, la Fni et le Sniil, et si tant est qu’on puisse parler de “négociations”, de dénoncer l’avenant 6, qui annonce la baisse de nos forfaits pour les personnes très âgées et fragiles, d’imposer les infirmiers libéraux comme acteurs de premier recours, d’exiger la création de l’acte de consultation infirmière avec la rémunération qui va avec, mais aussi reconnaître notre autonomie afin que les patients COVID mis dehors de l’hôpital puissent être pris en charge correctement à domicile en l’absence récurrente de prescription et enfin d’exiger de véritables négociations et pas la pantomime qu’on nous sert depuis une trentaine d’années ! Faites valoir nos droits ! Antoinette Tranchida, Présidente de l'Organisation Nationale des Syndicats d’Infirmiers Libéraux
Dansle caducée de la pharmacie, le bâton est surmonté de la coupe d'Hygie (fille d'Asclépios) dans lequel le serpent crache son venin (le venin de serpent sert à la préparation de remèdes). Chez les Grecs anciens, le serpent Python est l'hôte du temple de Delphes d'où Socrate tirera sa devise, « connais-toi toi-même », celle-ci étant écrite au fronton de ce temple.
Qu'est-ce que la RQTH ?La Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé RQTH est un statut qui ouvre des droits aux travailleurs bénéficiant de la qualité de travailleurs handicapés. Il s’agit notamment de droits d’accès à des dispositifs d’accompagnement vers l’emploi, et de droits supplémentaires en tant que travailleur. La RQTH relève d’une décision administrative permettant aux personnes en situation de handicap de bénéficier d’aides spécifiques. Il s’agit d’une reconnaissance officielle effectuée par la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées CDAPH concernant l’aptitude au travail d’une personne, en fonction de son handicap et de ses capacités. Cette procédure de reconnaissance en tant qu’adulte handicapé est notamment engagée dans le cadre d’une demande d’attribution ou de renouvellement de l’Allocation aux Adultes Handicapés AAH. En cas de non-reconnaissance de la RQTH, la commission CDAPH peut conclure soit à l’impossibilité d’accéder à tout travail, soit à la possibilité d’accéder normalement à un travail absence de handicap reconnu. Qui peut bénéficier de la RQTH ?La RQTH est reconnue à toute personne dont les possibilités d'obtenir ou de conserver un emploi sont effectivement réduites du fait de la dégradation d'au moins une fonction physique, sensorielle, mentale ou psychique. L’âge minimum requis pour obtenir la RQTH est de 16 ans. Sont ainsi concernées les personnes souffrant d'un handicap, d'une maladie chronique asthme, diabète, insuffisance cardiaque, sclérose en plaques, hépatite ou d'un problème de santé ayant des répercussions au travail problème de vue, troubles auditifs, dépression, rhumatisme, allergie à certains produits…. Le statut de travailleur handicapé peut être attribué dans différents cas de figure Avoir un problème de santé ou une déficienceÊtre reconnu travailleur handicapé, titulaire de l'Allocation adulte handicapéÊtre invalideAvoir une maladie professionnelle ou être victime d'un accident du travail. Quel avantage d'être reconnu Rqth ? Être reconnu travailleur handicapé présente quelques avantages. Toute personne bénéficiant du statut RQTH bénéficie d’un certain nombre d’aides et de droits pour accéder plus facilement au marché du travail. Le statut RQTH favorise également le maintien dans l’emploi des travailleurs handicapés. Voici les différents avantages d’un travailleur handicapé RQTH. Une aide à l’orientation professionnelleLa Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées CDAPH accompagne l’orientation du travailleur handicapé vers un établissement ou un service d’aide par le travail, vers le marché du travail ou vers un centre de rééducation professionnelle. Un accès à l’emploi facilité pour les travailleurs handicapésLe statut RQTH favorise l’entrée sur le marché du travail grâce aux mesures suivantes L’Obligation d’Emploi des Travailleurs Handicapés OETH impose à toutes les entreprises privées et publiques d’employer 6% de travailleurs handicapés sur la totalité de leurs effectifs. Cette obligation s’accompagne d’une prime à l’embauche pour les entreprises recrutant des travailleurs handicapés - prime valable entre octobre 2020 et février 2021. L’accès à la fonction publique est également favorisé par la mise en place de concours aménagés et de recrutements contractuels spécifiques. Les dispositifs contractuels existants tels que le contrat d’apprentissage ou le contrat unique d’insertion, sont également aménagés de façon spécifique pour les travailleurs RQTH. Les aides et aménagements des conditions de travail Le statut RQTH permet également de bénéficier des aides et des aménagements dans les conditions de de gestion du fonds pour l'insertion des personnes handicapées Agefiph intervient pour l'insertion professionnelle et le maintien dans l'emploi des personnes handicapées dans les entreprises du secteur privé en accordant des aides à la mobilité, des aides pour l’aménagement du poste de travail et des aides pour l’acquisition de matériel fauteuil, appareillage auditif…De façon plus générale, les employés bénéficiant du statut RQTH bénéficient d’un aménagement de leurs conditions de travail en fonction de leur handicap horaires, équipements….Une surveillance médicale spécifiqueLes salariés disposant du statut RQTH font l’objet d’une surveillance médicale particulière auprès du médecin du travail dans le cadre d'une surveillance médicale renforcée. Un délai de préavis plus long en cas de licenciementEn cas de licenciement, la durée du préavis légal est doublée pour les travailleurs reconnus handicapés et, plus généralement, pour les bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurshandicapés, sans toutefois que cette mesure puisse avoir pour effet de porter au-delà de trois mois la durée du préavis. Une sécurité dans le maintien de l’emploiLa RQTH est attribuée pour une durée de 1 à 10 ans renouvelable. Dans le cas d’une altération définitive d'au moins une fonction - physique, sensorielle, mentale ou psychique -, la RQTH peut être attribuée à durée de validité de la RQTH constitue ainsi une protection pour le maintien dans l’emploi du travailleur être reconnu travailleur handicapé ? La procédure de demande d’obtention de la RQTH diffère selon qu’elle est liée à une demande d’allocation aux adultes handicapés AAH, ou une demande d’AAH a été effectuéeLa procédure RQTH est engagée au moment de l’instruction de la demande d’AAH. Aucune démarche n’est requise du côté de la personne handicapée. Si la procédure RQTH n’est pas liée à une demande d’AAHPour obtenir le statut RQTH, il faut en faire la demande la personne en situation de handicap ou son représentant légal auprès de la maison départementale des personnes handicapées MDPH de son lieu de résidence, à l’aide du formulaire Cerfa n°15692*01, du certificat médical Cerfa n°13878*01, et s’accompagne de toutes les pièces justificatives utiles en remplissant le formulaire de demande unique. La Commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées du département ex-Cotorep, composée d'une équipe pluridisciplinaire assistante sociale, syndicats, pros de l'emploi..., examine le dossier et rend une décision motivée. Une RQTH est valable entre 1 et 5 ans et doit être renouvelée par le salarié handicapé. Suis-je obligé d'avoir une RQTH pour travailler ?Non, cette reconnaissance n'est pas une obligation. D'ailleurs de nombreuses personnes handicapées préfèrent ne pas en faire la demande car elles craignent d'être stigmatisées dans leur vie professionnelle quotidienne. C'est une démarche volontaire et personnelle. Aucun employeur ne peut vous obliger à demander une RQTH. Si vous souhaitez en savoir plus sur le salaire d'un travailleur handicapé, notre article vous informe.

Caducéeou non si tu ne t'arrête pas (et qu'il n'y a personne) c'est non assistance à personne en danger. Mais si tu t'arrête pas et qu'en plus ta un caducée étudiant infirmier(e), c'est une

Le nou­veau réfé­ren­tiel de com­pé­ten­ces de l’aide-soi­gnant com­porte 11 com­pé­ten­ces au sein de 5 blocs. Il est publié dans l’arrêté du 10 juin 2021. Bloc 1 - Accompagnement et soins de la per­sonne dans les acti­vi­tés de sa vie quo­ti­dienne et de sa vie sociale 1 - Accompagner les per­son­nes dans les actes essen­tiels de la vie quo­ti­dienne et de la vie sociale, per­son­na­li­ser cet accom­pa­gne­ment à partir de l’évaluation de leur situa­tion per­son­nelle et contex­tuelle et appor­ter les réa­jus­te­ments néces­sai­res 1. Rechercher et ana­ly­ser les infor­ma­tions sur les habi­tu­des de la vie quo­ti­dienne et sociale, la culture, les choix de la per­sonne et le cas échéant ceux de son entou­rage 2. Evaluer le degré d’auto­no­mie, les fra­gi­li­tés et /ou les han­di­caps, les res­sour­ces et les capa­ci­tés phy­si­ques et psy­chi­ques de la per­sonne 3. Identifier et évaluer les besoins de la per­sonne en tenant compte de sa situa­tion sin­gu­lière, de ses réac­tions et ajus­ter conti­nuel­le­ment son inter­ven­tion 4. Mettre en œuvre l’accom­pa­gne­ment per­son­na­lisé dans les actes essen­tiels de la vie quo­ti­dienne 5. Mettre en œuvre les acti­vi­tés d’accom­pa­gne­ment à la vie sociale à des­ti­na­tion d’une per­sonne ou d’un groupe en pre­nant en compte les réac­tions, choix et expres­sions de la per­sonne 6. Mobiliser les res­sour­ces de la per­sonne dans les acti­vi­tés réa­li­sées et, en col­la­bo­ra­tion avec l’infir­mier, les autres pro­fes­sion­nels, les aidants, adap­ter son accom­pa­gne­ment pour déve­lop­per et main­te­nir ses capa­ci­tés 7. Adapter la com­mu­ni­ca­tion avec la per­sonne, les aidants et les autres pro­fes­sion­nels pen­dant les acti­vi­tés en fonc­tion de chaque situa­tion 8. Aider, accom­pa­gner et confor­ter les aidants dans leur rôle de col­la­bo­ra­tion aux actes essen­tiels de la vie quo­ti­dienne 2. - Identifier les situa­tions à risque lors de l’accom­pa­gne­ment de la per­sonne, mettre en œuvre les actions de pré­ven­tion adé­qua­tes et les évaluer 1. Identifier les signes pou­vant induire des fra­gi­li­tés poten­tiel­les ou des vul­né­ra­bi­li­tés dans les dif­fé­rents domai­nes de la vie quo­ti­dienne et trans­met­tre les infor­ma­tions néces­sai­res 2. Repérer les situa­tions à risque, en par­ti­cu­lier de mal­trai­tance, pour la per­sonne, pour les inter­ve­nants et aler­ter 3. Proposer des mesu­res de pré­ven­tion dans le champ d’inter­ven­tion et dans le cadre d’une coo­pé­ra­tion pluri-pro­fes­sion­nelle 4. Evaluer les mesu­res mises en œuvre et les réa­jus­ter le cas échéant Bloc 2. - Evaluation de l’état cli­ni­que et mise en œuvre de soins adap­tés en col­la­bo­ra­tion 3. - Evaluer l’état cli­ni­que d’une per­sonne à tout âge de la vie pour adap­ter sa prise en soins 1. Rechercher et ana­ly­ser les infor­ma­tions per­ti­nen­tes et utiles per­met­tant d’iden­ti­fier l’état géné­ral de la per­sonne, d’adap­ter sa prise en soins en fonc­tion de son âge et de son évolution 2. Identifier les signes per­met­tant d’appré­cier les chan­ge­ments de l’état cli­ni­que de la per­sonne en fonc­tion des obser­va­tions réa­li­sées et des infor­ma­tions recueillies 3. Evaluer la dou­leur, mesu­rer les para­mè­tres vitaux ainsi que les don­nées de sur­veillance en uti­li­sant les outils adap­tés 4. Evaluer l’état cli­ni­que d’une per­sonne à partir de l’ana­lyse de l’ensem­ble de ces infor­ma­tions en met­tant en œuvre un rai­son­ne­ment cli­ni­que 5. Transmettre à l’oral et à l’écrit les infor­ma­tions utiles et néces­sai­res pour l’adap­ta­tion de la prise en soins de la per­sonne par l’équipe pluri-pro­fes­sion­nelle 6. Discerner le carac­tère urgent d’une situa­tion et aler­ter 4. - Mettre en œuvre des soins adap­tés à l’état cli­ni­que de la per­sonne 1. Rechercher les infor­ma­tions sur les pré­cau­tions par­ti­cu­liè­res à res­pec­ter lors du soin 2. Analyser les infor­ma­tions recueillies et prio­ri­ser les acti­vi­tés de soin dans son champ de com­pé­ten­ces 3. Identifier et appli­quer les règles de bonnes pra­ti­ques rela­ti­ves à la mise en œuvre des soins 4. Organiser l’acti­vité de soin et adap­ter les moda­li­tés de réa­li­sa­tion de celui-ci en fonc­tion de l’état cli­ni­que et de la situa­tion de la per­sonne 5. Mettre en œuvre des soins per­son­na­li­sés en col­la­bo­ra­tion avec l’infir­mierère et en lien avec l’équipe pluri-pro­fes­sion­nelle à partir de l’évaluation de la situa­tion 6. Expliquer le soin réa­lisé et l’objec­tif du geste de manière adap­tée à la situa­tion 7. Evaluer la qua­lité du soin réa­lisé et réa­jus­ter son inter­ven­tion 5. - Accompagner la per­sonne dans son ins­tal­la­tion et ses dépla­ce­ments en mobi­li­sant ses res­sour­ces et en uti­li­sant les tech­ni­ques pré­ven­ti­ves de mobi­li­sa­tion 1. Evaluer les capa­ci­tés d’une per­sonne à réa­li­ser les éléments cons­ti­tu­tifs d’un dépla­ce­ment 2. Effectuer une gui­dance ver­bale et non ver­bale et/ou iden­ti­fier les res­sour­ces humai­nes et maté­riel­les adap­tées 3. Aménager un espace sécu­risé et sécu­ri­sant pour une per­sonne ou un groupe 4. Utiliser les dis­po­si­tifs d’aide à la mobi­li­sa­tion dans le res­pect des règles de sécu­rité et d’ergo­no­mie 5. Identifier les situa­tions à risque pour la per­sonne et pour soi-même, aler­ter et pren­dre les mesu­res appro­priées dans son champ de com­pé­ten­ces 6. Installer la per­sonne en tenant compte de la sin­gu­la­rité de la situa­tion Bloc 3. - Information et accom­pa­gne­ment des per­son­nes et de leur entou­rage, des pro­fes­sion­nels et des appre­nants 6. - Etablir une com­mu­ni­ca­tion adap­tée pour infor­mer et accom­pa­gner la per­sonne et son entou­rage 1. Ecouter la per­sonne et son entou­rage en pre­nant en compte la com­mu­ni­ca­tion ver­bale et non ver­bale 2. Mettre en œuvre des soins rela­tion­nels en adap­tant sa com­mu­ni­ca­tion à des publics diver­si­fiés dans le res­pect des per­son­nes et des règles de confi­den­tia­lité 3. Identifier les infor­ma­tions per­ti­nen­tes à trans­met­tre à la per­sonne et à son entou­rage en tenant compte de la situa­tion, du projet per­son­na­lisé ou col­lec­tif et de la régle­men­ta­tion en vigueur, et en col­la­bo­ra­tion avec l’infir­mierère et l’équipe pluri-pro­fes­sion­nelle 4. Apporter des conseils à la per­sonne et à l’entou­rage dans le domaine de l’éducation à la santé, de l’hygiène de la vie cou­rante et de la sécu­rité domes­ti­que 5. Permettre à la per­sonne d’expri­mer ses besoins et atten­tes au regard du soin réa­lisé, les refor­mu­ler et pro­po­ser des moda­li­tés adap­tées de réa­li­sa­tion du soin 6. Apporter des infor­ma­tions pra­ti­ques adap­tées lors de l’accueil dans le ser­vice, la struc­ture, l’ins­ti­tu­tion et dans le cadre du res­pect du règle­ment inté­rieur 7. - Informer et former les pairs, les per­son­nes en for­ma­tion et les autres pro­fes­sion­nels 1. Identifier les infor­ma­tions per­ti­nen­tes à appor­ter aux per­son­nes en for­ma­tion et aux pro­fes­sion­nels lors de leur accueil dans le ser­vice ou la struc­ture 2. Rechercher les infor­ma­tions sur les besoins d’appren­tis­sage en lien avec la per­sonne et avec sa for­ma­tion 3. Accompagner les acti­vi­tés et le déve­lop­pe­ment des com­pé­ten­ces des per­son­nes en for­ma­tion 4. Identifier les acquis et les écarts dans la réa­li­sa­tion des acti­vi­tés et adap­ter son enca­dre­ment 5. Evaluer les com­pé­ten­ces mises en œuvre par les per­son­nes en for­ma­tion en uti­li­sant les outils de suivi de l’appren­tis­sage 6. Accompagner la per­sonne en for­ma­tion dans la réflexion sur ses appren­tis­sa­ges Bloc 4. - Entretien de l’envi­ron­ne­ment immé­diat de la per­sonne et des maté­riels liés aux acti­vi­tés en tenant compte du lieu et des situa­tions d’inter­ven­tion 8. - Utiliser les tech­ni­ques d’entre­tien des locaux et du maté­riel adap­tées en pre­nant en compte la pré­ven­tion des ris­ques asso­ciés 1. Identifier et choi­sir le maté­riel et les pro­duits appro­priés, les uti­li­ser en res­pec­tant les règles de bonnes pra­ti­ques 2. Utiliser les tech­ni­ques de net­toyage et de désin­fec­tion appro­priées, pour lutter contre les ris­ques de conta­mi­na­tion et les infec­tions asso­ciées au soin, en appli­quant les règles de bonnes pra­ti­ques 3. Appliquer les prin­ci­pes d’hygiène dans les lieux de vie col­lec­tifs et à domi­cile visant à pré­ve­nir les infec­tions et leur trans­mis­sion 4. Respecter les cir­cuits d’entrée-sortie et sto­ckage du linge, des maté­riels, des dis­po­si­tifs médi­caux et des déchets 5. Respecter les cir­cuits et pro­cé­du­res liés à l’ali­men­ta­tion dans son champ d’acti­vité 6. Adapter ses actions en fonc­tion du lieu d’inter­ven­tion 9. - Repérer et trai­ter les ano­ma­lies et dys­fonc­tion­ne­ments en lien avec l’entre­tien des locaux et des maté­riels liés aux acti­vi­tés de soins 1. Evaluer l’effi­ca­cité des opé­ra­tions réa­li­sées, iden­ti­fier les ano­ma­lies et réa­jus­ter dans le cadre de ses com­pé­ten­ces 2. Repérer les ano­ma­lies rela­ti­ves à l’entre­tien de l’envi­ron­ne­ment de la per­sonne et des maté­riels et aler­ter 3. Vérifier le bon fonc­tion­ne­ment des maté­riels liés aux acti­vi­tés de soins Bloc 5. - Travail en équipe plu­ri­pro­fes­sion­nelle et trai­te­ment des infor­ma­tions liées aux acti­vi­tés de soins, à la qua­lité/ges­tion des ris­ques 10. - Rechercher, trai­ter et trans­met­tre, quels que soient l’outil et les moda­li­tés de com­mu­ni­ca­tion, les don­nées per­ti­nen­tes pour assu­rer la conti­nuité et la tra­ça­bi­lité des soins et des acti­vi­tés 1. Rechercher, orga­ni­ser et hié­rar­chi­ser les infor­ma­tions néces­sai­res à la prise en soins per­son­na­li­sée 2. Transcrire les don­nées recueillies, trans­met­tre, par le ou les moda­li­tés de com­mu­ni­ca­tion les plus appro­priés, les infor­ma­tions, obser­va­tions rela­ti­ves à la per­sonne et à son envi­ron­ne­ment, à la réa­li­sa­tion d’un soin ou d’une acti­vité 3. Analyser les situa­tions et relayer des infor­ma­tions per­ti­nen­tes en lien avec le projet de soins ou de vie cons­truit en équipe pluri-pro­fes­sion­nelle 11. - Organiser son acti­vité, coo­pé­rer au sein d’une équipe pluri-pro­fes­sion­nelle et amé­lio­rer sa pra­ti­que dans le cadre d’une démar­che qua­lité et ges­tion des ris­ques 1. Identifier son propre champ d’inter­ven­tion au regard des fonc­tions et acti­vi­tés de chaque pro­fes­sion­nel et des lieux et situa­tions d’inter­ven­tion 2. Organiser sa propre acti­vité au sein de l’équipe pluri-pro­fes­sion­nelle en s’ins­cri­vant dans la pla­ni­fi­ca­tion de l’ensem­ble des acti­vi­tés et des chan­ge­ments pré­vi­si­bles 3. Organiser et prio­ri­ser son acti­vité pour répon­dre aux besoins d’une per­sonne ou d’un groupe de per­son­nes dans un contexte sus­cep­ti­ble de chan­ger 4. Apporter une contri­bu­tion au projet de soins, au projet de vie et à tout projet col­lec­tif et ins­ti­tu­tion­nel 5. Repérer, signa­ler et décla­rer les événements indé­si­ra­bles et les non-confor­mi­tés et trans­met­tre les infor­ma­tions appro­priées 6. Apporter une contri­bu­tion à l’évaluation des pra­ti­ques en équipe pluri-pro­fes­sion­nelle et à la démar­che qua­lité et à la ges­tion des ris­ques 7. Evaluer sa pra­ti­que, iden­ti­fier les axes d’amé­lio­ra­tion et ses besoins en for­ma­tion 8. Proposer des actions d’amé­lio­ra­tion contri­buant à la qua­lité et à la ges­tion des ris­ques et à la pré­ven­tion des ris­ques pro­fes­sion­nels dans son champ de com­pé­ten­ces Le docu­ment com­plet est en télé­char­ge­ment à la fin de l’ Arrêté du 10 juin 2021 rela­­tif à la for­­ma­­tion condui­­sant au diplôme d’Etat d’aide-soi­­gnant . 197 16 623 159 477 764 510 174

caducée aide soignante a quoi ça sert