steriletcuivre et regles tous les 15 jours ???? 14 réponses /. Dernier post : 23/07/2008 à 03:55. A. ann32hm. 22/07/2008 à 03:24. voilà j'ai un DIU cuivre depuis fin juin, dès la pose j'ai eu des petites regles. ensuite le 8 juillet j'ai eu des regles abondantes et douloureuses qui ont duré une semaine entière.
Télécharger l'article Télécharger l'article Il est possible que les saignements entre les menstruations puissent être normaux, alors vous n'avez pas à vous inquiéter. Ils seront certainement normaux si vous attendez vos règles, si vous ovulez, si vous utilisez un stérilet ou encore si vous venez de changer de méthode de contraception. Sinon, des saignements intermenstruels ne sont pas généralement normaux. Vous pouvez savoir que les pertes de sang que vous avez entre deux règles sont anormales si vous avez des douleurs, de la fièvre, des ecchymoses, des vertiges et des écoulements. En outre, déterminez si un quelconque problème de santé dont vous souffrez, un rapport sexuel ou même une grossesse pourrait être à l'origine de vos saignements. Toutefois, vous devriez absolument consulter un médecin si vous avez fréquemment des saignements ou d'autres symptômes en dehors de vos règles habituelles. 1 Déterminez si vous aurez vos règles dans quelques jours. Remarquer du sang sur son papier hygiénique ou dans ses sous-vêtements peut être intimidant si l'on ne s'attend pas à avoir ses règles. Cependant, sachez qu'il est tout à fait normal de voir un peu de sang durant la semaine où vous auriez normalement vos règles même si ce n'est pas le jour prévu. Regardez le calendrier pour déterminer s'il est bientôt temps que vous ayez vos règles. Si c'est le cas, vos saignements sont probablement normaux [1] . Un suivi de ses règles est utile pour savoir ce qui est normal et ce qui ne l'est pas. Il est possible que vous saigniez un peu chaque mois quelques jours avant vos règles effectives, ce qui serait normal pour vous. Mais, au cas où vous n'auriez jamais saigné avant vos règles, il se peut que quelque chose ne soit pas normal. Toutefois, vous n'avez pas à vous inquiéter. Tout ce que vous avez à faire dans ce cas, c'est de contacter le médecin pour vous en assurer. 2 Déterminez si vous êtes en train d'ovuler. Si c'est le cas, sachez que cela pourrait entrainer des pertes de sang. Autrement dit, il est parfaitement normal de voir un peu du sang après que l'on ait ovulé [2] . L'ovulation se produit lorsqu'un ovule est libéré par l'ovaire. En général, dans ce cas, le saignement est de couleur rose, car le sang est mélangé à de la glaire cervicale [3] . Vérifiez le calendrier pour voir si vous êtes entre le 10e et le 16e jour de votre cycle menstruel, car cela pourrait signifier que vous êtes en train d'ovuler [4] . Le cycle menstruel commence le premier jour des règles. Habituellement, l'ovulation aura lieu vers le 14e jour. Ce sera en général quelques jours ou une semaine environ après la fin des saignements menstruels. 3Attendez-vous à saigner après avoir changé de moyen de contraception. Plus spécifiquement, attendez-vous à saigner durant les premiers mois suivants l'utilisation d'un nouveau moyen de contraception. La pilule contraceptive et le stérilet peuvent tous deux provoquer des saignements intermenstruels. Si vous venez de commencer à utiliser une nouvelle méthode contraceptive au cours des trois derniers mois, sachez qu'elle pourrait être à l'origine des pertes de sang que vous avez [5] . Voici une autre option si vous avez un stérilet, les pertes de sang peuvent provenir du fait qu'il glisse à l'intérieur de l'utérus et provoque des éraflures. Si c'est le cas, vous pourriez avoir ces pertes de sang en dehors des règles, des douleurs et des saignements menstruels abondants. Assurez-vous de consulter votre médecin si vous avez peur que cela ce soit produit [6] . 4 Avez-vous dernièrement utilisé une pilule du lendemain ? Aussi connue sous le nom de contraception d'urgence et bien qu'elle soit sans danger, la pilule du lendemain peut potentiellement entrainer des pertes de sang après son utilisation. Il n'y a généralement pas lieu de s'en inquiéter, à moins que cela ne continue. Si cela vous préoccupe, allez voir votre médecin pour être sure que tout va bien [7] . À titre d'exemple, vous pouvez avoir des saignements légers après avoir pris la pilule du lendemain. Même si le saignement est un effet secondaire rare de la pilule du lendemain, il peut survenir à cause des hormones qui sont présentes dans la pilule. 1 Voyez si vous présentez d'autres symptômes. Il est possible que les pertes de sang que vous présentez en dehors de vos règles soient dues à une infection pelvienne, un problème médical ou un cancer. Faites l'effort de ne pas vous en inquiéter, car beaucoup de causes pouvant justifier ces saignements sont bénignes. Recherchez plutôt d'autres éventuels symptômes d'un problème médical. Consultez un médecin si vous remarquez les symptômes suivants [8] des ecchymoses survenant facilement ; de la fièvre ; des vertiges ; des douleurs pelviennes ou abdominales ; des décharges anormales. 2 Déterminez si vos saignements pourraient être un symptôme de SOPK. Le syndrome de Stein-Leventhal ou syndrome de SOPK syndrome des ovaires polykystiques » est une maladie hormonale qui, entre autres symptômes, entraine également des menstruations irrégulières. Vous pourriez avoir des pertes de sang pendant que vous avez vos règles irrégulières. Si vous savez que vous souffrez du SOPK, essayez de déterminer si cela pourrait être à l'origine de votre saignement [9] . Parmi les symptômes de ce syndrome, on peut citer des menstruations irrégulières, une forte pilosité au niveau du visage et du corps, l'alopécie androgénétique pertes de cheveux sur les tempes et du sommet du crâne et une hypertrophie des ovaires. Allez voir un médecin si vous pensez souffrir de SOPK qui n'a pas encore été diagnostiquée [10] . 3 Déterminez si vos saignements ont eu lieu après un rapport sexuel. Il se peut que vous ayez des saignements après un rapport sexuel à cause d'une éraflure à l'intérieur de votre vagin ou à cause d'un problème médical. Parfois, ce n'est pas un gros problème, mais cela peut être une source d'inquiétude. Si vous n'avez saigné qu'une seule fois, il est probable que tout va bien. Toutefois, il vaut mieux en parler à un médecin si vous saignez fréquemment après un rapport sexuel ou si vous êtes très inquiète [11] . Si vous souffrez de sècheresse vaginale, vous êtes plus susceptible de saigner facilement après un rapport sexuel. Dans ce cas, utilisez un lubrifiant pour éviter les saignements à l'avenir [12] . 4 Faites un test de grossesse. Faites-le si vous pensez être dans vos premières semaines de grossesse. En fait, vous pourriez saigner au cours des premiers jours de la grossesse, parce que votre bébé s'attacherait aux parois de votre utérus. Cependant, les saignements pourraient également survenir au cours des premières semaines. Si vous pensez être enceinte, faites un test de grossesse à domicile pour savoir si cela pourrait être à la base des pertes de sang intermenstruelles [13] . Si le résultat est négatif et que vous n'avez pas vos menstruations, faites un autre test ou consultez un médecin. 5 Consultez un médecin si vous attendez un enfant. Faites l'effort de ne pas vous inquiéter, mais le saignement pourrait être le signe que quelque chose ne va pas avec votre grossesse. Allez chez le médecin pour être sure que vous n'avez pas une grossesse extra-utérine, c'est-à -dire que le fœtus se développe en dehors de la cavité utérine. En outre, le médecin peut déterminer si vous présentez les premiers signes d'une fausse couche [14] . Si quelque chose ne va pas, le médecin va immédiatement commencer un traitement pour vous aider vous et votre bébé. Même si cela fait peur, il est possible que vous n'ayez rien de grave. Veillez simplement à consulter le médecin pour être sure. 6 Évaluez votre risque de contracter une IST. Certaines infections sexuellement transmissibles IST peuvent entrainer des saignements vaginaux. Vous êtes plus exposée à en souffrir si vous avez récemment eu des relations sexuelles non protégées avec un nouveau partenaire ou si vous ou votre partenaire sexuel avez plus d'un partenaire. Faites-vous tester pour les maladies sexuellement transmissibles et discutez avec votre partenaire en vue de savoir s'il peut être à risque [15] . Si vous souffrez d'une IST, vous pouvez probablement vous faire soigner afin de vous rétablir rapidement. 7 Voyez si vous présentez des effets indésirables. Voyez si vous avez des effets indésirables des médicaments que vous prenez. Il est possible que les médicaments que vous prenez soient la cause de vos pertes de sang. Toutefois, n'envisagez pas d'arrêter de les prendre sans d'abord consulter votre médecin. Au lieu de cela, fixez un rendez-vous avec lui pour vous renseigner à propos des médicaments afin de savoir s'ils peuvent provoquer des saignements [16] . Outre les contraceptifs oraux, les antidépresseurs, les antipsychotiques et les anticoagulants peuvent potentiellement engendrer des saignements intermenstruels. Il se peut que votre médecin vous dise que vous n'avez pas à vous inquiéter de vos saignements. Sinon, il va vous prescrire d'autres médicaments. 1 Allez voir un médecin. Faites-le si les pertes de sang sont fréquentes ou si vous présentez des signes d'infection. Faites un effort de ne pas vous en inquiéter, mais il se peut que vous deviez suivre un traitement médical si les saignements sont fréquents ou s'ils s'accompagnent d'autres symptômes. Allez donc voir le médecin afin de savoir ce qui peut être à la base de vos saignements. Demandez-lui ensuite si vous avez besoin d'un traitement [17] . Le médecin peut vous confirmer s'ils sont normaux et ne sont pas préoccupants. Toutefois, sachez qu'il est important que vous obteniez un diagnostic officiel pour en être sure, car ces saignements anormaux peuvent être dus à quelque chose de très grave. 2 Effectuez des tests de diagnostic. Faites-le pour déterminer ce qui est à l'origine de vos saignements anormaux. Laissez le médecin vous faire passer une série de tests de diagnostic qui peuvent être indolores, mais un peu inconfortables. Après cela, vous obtiendrez un diagnostic officiel et un traitement si nécessaire. Le praticien va probablement effectuer un ou plusieurs des tests suivants [18] . Un examen gynécologique pour détecter des signes de cancer, d'infection, de croissances anormales ou de fibromes. Des cultures vaginales afin de vérifier la présence de cellules anormales ou d'une infection. Des analyses sanguines simples et indolores pour vérifier la présence d'une infection ou d'un déséquilibre hormonal. Des tests d'imagerie pour déterminer les fibromes, des excroissances anormales ou un problème de l'appareil reproducteur. Des tests de maladie sexuellement transmissible pour exclure ce type d'infection. Conseil si vous n'aviez jamais eu de menstruations, le médecin peut simplement examiner vos antécédents médicaux et vous faire passer un examen physique. Cependant, il peut effectuer une analyse sanguine, un dépistage du diabète, un dépistage des maladies thyroïdiennes, une étude des saignements, une analyse de l'hémoglobine et du nombre de plaquettes ou un examen qui se fera sous anesthésie. Si vous êtes ménopausée, vous aurez peut-être besoin d'une analyse de sang, d'une échographie transvaginale ou d'une biopsie de l'endomètre si le professionnel de la santé craint un cancer. Si vous êtes en âge de procréer, vous passerez probablement un test de grossesse et peut-être une analyse de sang, des tests d'imagerie, un dépistage des maladies thyroïdiennes et des maladies du foie pour trouver la cause de vos saignements intermenstruels. Au cas où vous ne seriez pas enceinte, le praticien va probablement effectuer une formule sanguine complète FSC, mesurer votre glycémie à jeun, faire un dosage de l'hémoglobine glyquée, un dosage de la FSH et de la LH, une échographie, un bilan thyroïdien, évaluer votre taux de prolactine et peut-être une biopsie de l'endomètre. Si vous êtes enceinte, le professionnel de la santé peut faire une échographie transvaginale ou un test de groupe sanguin si vous êtes au premier trimestre. À un stade ultérieur de votre grossesse, une échographie transabdominale sera probablement effectuée pour déterminer l'emplacement du placenta [19] . 3 Contactez immédiatement votre médecin. Faites-le si vous êtes enceinte pour être sure. Il n'y a probablement pas lieu de vous inquiéter, mais il vaut mieux que vous en parliez au professionnel de la santé. Dans certains cas, des pertes de sang intermenstruelles peuvent vouloir dire que quelque chose ne va pas, mais le médecin peut s'assurer que tout va bien. Il est préférable de prendre rendez-vous le jour même ou d'aller aux urgences pour un traitement rapide [20] . Essayez de ne pas vous en inquiéter, car il n'y a probablement rien de grave. Cependant, il est important de vous assurer que vous et votre bébé allez bien. 4 Discutez avec le médecin. Faites-le si vous êtes ménopausée et remarquez quand même des saignements. Vous ne devriez pas avoir de saignements après la ménopause. Si c'est le cas, il se peut que quelque chose ne tourne pas rond. Allez voir le praticien pour déterminer ce qui en est à l'origine et obtenir un traitement si nécessaire [21] . Par exemple, cela pourrait être un signe de cancer ou dû au fait que vous avez un déséquilibre hormonal. Toutefois, il se peut aussi que votre organisme subisse simplement une dernière ovulation, ce qui n'est pas forcément une source d'inquiétude. Conseils Il vaut mieux consulter un médecin si vous craignez que vos saignements ne soient pas normaux. Même s'il est fort probable que tout aille bien, il va vous rassurer. Avertissements Cet article contient des informations médicales ou des conseils pouvant affecter votre santé. wikiHow s'efforce de proposer du contenu aussi précis que possible, mais ne peut en aucun cas être responsable du résultat de l'application liste non exhaustive des traitement, des techniques, des médicaments des dosages et/ou méthodes proposées dans ce document. L'utilisateur en assume la pleine les symptômes persistent plus de quelques jours, allez voir un professionnel de la santé. Lui seul est apte à vous fournir un avis médical, quelle que soit votre condition. S'il s'agit d'un jeune enfant, consultez un pédiatre sans numéro des urgences médicales européen est le 112 Vous retrouverez les autres numéros des urgences médicales pour de nombreux pays en cliquant ici. Références À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 18 344 fois. Cet article vous a-t-il été utile ? Abonnez-vous pour recevoir la newsletter de wikiHow! S'abonner
Monexpérience avec le stérilet. Il y a un peu plus d’un an je vous parlais de mon arrêt de pilule début 2018 dans mon article: l’arrêt de la pilule ! A ce moment là j’avais décidé de vivre sans contraception pour au moins 6 mois. La vie a fait que j’ai pu attendre 18 mois avant de trouver une alternative à la pilule.
La contraception peut transformer nos habitudes mais aussi nos règles. Lorsque l’on fournit à notre corps des hormones de synthèse c’est-à -dire artificielles, celui-ci ne voit plus l’intérêt d’en libérer, et met donc tout notre système au repos. Les règles qui apparaissent après la prise de contraceptifs hormonaux sont différentes des règles naturelles. Impact de la contraception œstro-progestative Il s’agit de la pilule combinée ou mini dosée, du patch et de l’anneau. Sous contraception oestro-progestative, il n’y a pas d’ovulation. L’endomètre muqueuse de l’utérus, sous l’effet des hormones de synthèse, prolifère moins voire plus du tout. C’est ce qui rend les saignements moins intenses et moins douloureux. Pendant la période d’arrêt de 7 jours, il y a une chute brutale des hormones dans le corps qui provoque une hémorragie de privation d’hormones d’où l’apparition de saignements. Lorsqu’on ne fait pas de pause, il n’y pas de règles, car on fait l’impasse sur la période de privation. Impact de la contraception progestative Il s’agit de la pilule progestative ou micro dosée, de l’implant, du DIU stérilet hormonal et des contraceptifs injectables. Contrairement à la pilule oestro-progestative, cette contraception ne contient qu’un seul type d’hormone un progestatif de synthèse. Il existe des pilules progestatives qui ne suppriment pas l’ovulation, les règles surviennent régulièrement, environ toutes les quatre semaines. D’autres méthodes progestatives suppriment l’ovulation, et certaines femmes peuvent ne plus avoir leurs règles. Super perturbant ou super pratique selon les femmes. Il peut se produire des petits saignements appelés spotting, fréquents le temps que le corps s’habitue mais ne doivent pas durer. Si c’est le cas, il est possible que le dosage ne vous convienne pas et qu’il faille penser à changer de méthode contraceptive. Impact des contraceptifs non hormonaux Il s’agit des préservatifs, du DIU stérilet au cuivre, des spermicides, de la cape cervicale, du diaphragme. Sans hormones, ce sont vos ovaires les chefs d’orchestres ! Votre corps suit donc naturellement ses propres lois, l’ovulation a lieu. Sous contraceptifs non hormonaux qu’on appelle méthode barrière ou mécanique, vos règles sont donc de véritables règles, le cycle est naturel. Quand la contraception aide à réguler le cycle En cas de saignements qui apparaissent entre les règles ou parfois quand les règles sont trop espacées, on peut alors utiliser la pilule contraceptive comme traitement. La pilule contraceptive peut aussi être utilisée pour traiter des règles douloureuses et/ou trop abondantes en cas d’endométriose par exemple. Lorsqu’on souffre de troubles des règles, une visite chez le gynécologue s’impose. Ne négligez pas vos sensations, il n’est pas normal de se tordre de douleur ! Impact de la pilule d’urgence pilule du lendemain La pilule du lendemain peut aussi entraîner des modifications au niveau des règles. Il s’agit d’un comprimé fortement dosé en hormones destiné à bloquer ou perturber l’ovulation. En effet, la prise de cette pilule peut donner des saignements qui ressemblent à des règles et qui apparaissent quelques jours après la prise. Ces saignements ne prouvent pas l’efficacité du comprimé, c’est juste un effet secondaire possible. Le cycle est chamboulé et les vraies » règles peuvent être un peu retardées, ou même plus précoces que d’habitude. Pour bien être au fait des contraceptions, petit rappel des différents moyens de contraception dans notre dossier Les différents moyens de contraception. Pour en discuter sur le forum Pilule efficace dès la première prise ? Pilule du lendemain, aidez-moi ! Retrait stérilet et reprise pilule
Lesprincipales choses à savoir : La durée moyenne des règles d'une personne qui n'utilise pas de contraception hormonale ou de stérilet est de 8 jours maximum. Les méthodes de contraception hormonale comme la pilule, le patch, l'anneau ou le stérilet raccourcissent souvent la durée des règles. Le DIU au cuivre peut prolonger la durée
Billet rédigé en partenariat avec le laboratoire Hologic Avis aux âmes sensibles ce billet va parler des règles abondantes, trop abondantes, si ce sujet vous trouble ou si vous pensez que le sang des règles est bleu comme dans les publicités, n’hésitez pas à passer votre tour ou à lire ce billet finalement, vous y apprendrez sûrement des choses. J’ai eu mes règles à 14 ans et demi, pas vraiment très tôt mais j’ai fait ma puberté tardivement. Tout a commencé normalement par quelques petits spottings et puis au bout de quelques mois, j’ai eu des règles plus conséquentes et très vite, extrêmement abondantes. Sans que je ne réalise trop comment, je me suis retrouvée à chaque fois que j’avais mes règles à saigner de manière spectaculaire pendant plus d’une semaine. Ne sachant pas trop ce qu’était la norme, je me disais que toutes les femmes vivaient ça chaque mois. Alors je m’organisais tampon+serviette hyper-absorbante que je changeais à chaque interclasse, tampon absorbant +++ et serviette fine pour mes entraînements de gym et de voltige avec nombreuses vérifications pendant les cours, serviette en éponge dans mon lit la nuit pour éviter les débordements… C’était une organisation de fou, j’avais la trouille d’avoir des fuites – j’en avais souvent d’ailleurs – mais je gérais. C’est sûrement très cru à lire mais quand on a 15 ans, on pense que c’est normal et on s’adapte. Et puis il y a eu la journée cauchemardesque. Celle où j’ai senti pendant le cours de math que ma chaise était pleine de sang, celle où j’ai épuisé en une matinée toutes mes protections de la journée, celle où je suis allée me changer de la tête au pied chez ma copine Yasou qui habitait pas loin du lycée, celle où je suis arrivée à mon entraînement de voltige que j’ai dû arrêter en plein milieu car je perdais des caillots. Celle où j’étais aussi épuisée de saigner autant aussi souvent. Ce jour-là , ma mère qui avait bien remarqué que j’avais des règles abondantes a découvert incrédule l’ampleur de ce qu’il m’arrivait. Elle m’a emmenée directement à l’hôpital. Je n’ai pas eu vraiment de diagnostic, on m’a dit que j’avais une ménorragie. À partir de là , j’ai compris qu’avoir des règles hémorragiques nécessitait une prise en charge particulière. Pour moi ça a été assez simple traitement de l’anémie et prise de la pilule contraceptive. Il a fallu un peu de temps pour trouver la bonne pilule, ça m’a donné l’occasion de visiter la pharmacie de garde de Mulhouse le week-end de Pâques alors que j’étais en compétition et que je me vidais littéralement. Une fois la bonne pilule trouvée, ma vie a changé et j’ai réalisé à quel point ces ménorragies m’avaient pourri le quotidien. Lors de l’arrêt de la pilule pour nos trois essais bébés, ces règles hyper abondantes sont revenues par période. Alors, après Petite Gavotte, j’ai décidé de me faire poser un stérilet hormonal le cuivre risquant d’aggraver les saignements, non merci et depuis plus de 5 ans, cette solution me convient parfaitement. Si je vous en parle ici aujourd’hui, c’est parce que j’ai été interpellée par la campagne que mène le laboratoire Hologic pour faire connaître cette maladie reconnue qui touche entre 20 et 30 % des femmes en âge de procréer. Par le biais d’un site internet et de vidéos, cette campagne brise le tabou qui entoure les règles abondantes comme on dit pudiquement et offre des informations claires et précises sur le sujet. Il n’est pas toujours possible d’identifier la cause et les symptômes peuvent varier d’une femme à l’autre mais les règles abondantes peuvent avoir un impact négatif important sur le quotidien comme je vous l’ai dit et il existe des solutions. Il est important d’en parler à son gynécologue pour identifier la cause et pour trouver le traitement adapté. Si ce que je vous raconte ici vous parle, n’hésitez pas à faire un tour sur le site internet qui pourra notamment vous permettre de confirmer ou non une ménorragie et qui vous orientera vers différentes solutions. Vous y trouverez également des témoignages de femmes concernées et des documents pratiques comme un test d’évaluation ou un calendrier des saignements pour vous aider à préparer la consultation avec votre gynécologue. Petit conseil aussi pour les mamans de filles n’hésitez pas à parler quantité » de règles avec vos filles. J’ai toujours pu parler de tout avec ma maman mais comme je vous le disais, je pensais que c’était normal et je gérais, ce qui fait que ma maman à moi n’a pu prendre conscience du problème avant qu’il devienne ingérable. Marjolaine Marjolaine, 39 ans, maman de Kouign Amann 2008, Fleur de Sel 2009 - prématurée et Petite Gavotte 2012, mariée à MMM. Auteur de guides pratiques, rédactrice, réalisatrice, ex-journaliste et ancienne sportive de haut-niveau. En revanche, je chante très mal et je danse encore pire. Chez nous, c'est Santa Barbara, les brushings en moins, l'humour en plus. Un blog entre tranches de vie et conseils en vrac, un blog pour rire et pour pleurer de temps en temps mais juste parce que l'on aime bien.
Lestérilet au cuivre, aussi appelé DIU,n'agit pas sur l'ovulation, néanmoins il provoque fréquemment des règles plus abondantes et plus longues lors des premiers mois suivant sa pose. Des
Temps de lecture 8 minutes La pilule contraceptive est le traitement le plus fréquent prescrit aux femmes atteintes d’endométriose pour soulager leurs douleurs. Le stérilet hormonal est aussi une solution recommandée pour un certain nombre de femmes. Ils font double emploi amélioration des symptômes avec l’endométriose et contraception. Mais je constate que beaucoup des femmes que j’accompagne souhaitent se passer des hormones pour gérer l’endométriose et ses symptômes de manière naturelle. Et une question revient régulièrement quand elles passent le cap de l’arrêt de la pilule ou du stérilet comment gérer ma contraception maintenant que je n’ai plus recours à l’un de ces moyens ? ». Il existe énormément d’autres moyens contraceptifs, qui sont plus ou moins adaptés quand on est atteinte d’endométriose. Faisons le point. Qu’est-ce qu’une méthode contraceptive ? Une méthode contraceptive est un objet ou une substance dont le but est d’empêcher la conception d’un embryon et une grossesse. La contraception regroupe tous les moyens temporaires et réversibles pour éviter une grossesse. Différents types de contraceptifs existent les méthodes qui bloquent l’ovulation comme la pilule, le patch contraceptif ou l’anneau vaginal,les objets qui empêchent la nidation de l’œuf, comme le stérilet,les méthodes qui empêchent la rencontre des spermatozoïdes avec l’ovocyte, comme le préservatif, les spermicides ou le diaphragme. Les contraceptifs hormonaux La pilule et le stérilet hormonal sont les deux traitements utilisés en première intention chez les femmes atteintes d’endométriose. Ils ont l’avantage d’être également contraceptifs. Parmi les contraceptifs hormonaux on trouve également l’implant sous-cutané et l’anneau vaginal et le patch. La pilule ou les traitements hormonaux Sur le sujet de la pilule et de ses avantages et de ses inconvénients, je t’invite à lire l’article de blog que j’ai publié début juin Pilule et endométriose vraie solution ou fausse amie ? » Le stérilet hormonal, un traitement pour l’endométriose qui présente les avantages d’une contraception sans oubli Qu’est-ce que c’est ? Face aux contraintes de régularité qu’impose la pilule, le stérilet peut-être une alternative. Le stérilet est une petite structure en forme de T insérée dans l’utérus de la femme. Pendant longtemps, on a dit que le stérilet une solution réservée aux femmes ayant déjà eu au moins une grossesse. Certains gynécologues refusent d’ailleurs de poser un stérilet aux femmes nullipares. Aujourd’hui, ce n’est plus une recommandation spécifique du Conseil national des gynécologues obstétriciens français. Le stérilet dédié aux femmes n’ayant jamais eu de grossesse est en revanche plus petit que celui des femmes ayant déjà eu des enfants. Les femmes peuvent le garder pendant 5 ans et le retirer à n’importe quel moment en cas de souci. Le stérilet est déconseillé aux femmes ayant des antécédents de grossesse extra-utérine ou d’infection de l’utérus. Certains médecins le déconseillent également en cas d’adénomyose tandis que d’autres le conseillent car il réduirait efficacement les douleurs associées à cette pathologie. L’autre traitement proposé en première intention pour soulager les douleurs d’endométriose est le stérilet hormonal, appelé aussi dispositif intrautérin ou système intra-utérin au lévonorgéstrel Miréna ou SIU au LNG . Il diffuse localement dans l’utérus de la progestérone. Les avantages du stérilet hormonal quand on est atteinte d’endométriose Le SIU au Levonorgestrel présente d’abord l’avantage d’une très grande efficacité, comparable à celle de la stérilisation tubaire. Le LNG-SIU n’est pas immédiatement efficace et en cas d’insertion après le 7e jour du cycle il faut prévoir de protéger tout rapport pendant 7 jours. Le mécanisme original d’action de ce SIU lié à la libération intra-utérine de Levonorgestrel permet d’expliquer l’existence de bénéfices non contraceptifs Diminution de l’abondance du flux menstruel dans la population générale réduction de 80 % au bout d’un anChez les femmes présentant des règles très abondantes, normalisation du flux menstruel réduction de 80 % sur une période de 12 mois avec élévation du taux plasmatique d’hémoglobine et de ferritineRéduction des douleurs de règles dysménorrhée dans la population généraleTraitement de l’endométriose avec amélioration significative de la fréquence et de la sévérité de la symptomatologie douloureuseDiminution des douleurs liées à l’adénomyoseRégression d’une hyperplasie de l’endomètre Des études ont également montré une efficacité en prévention de la récidive de l’endométriose après une chirurgie d’ablation des lésions. Source Utilisation d’un dispositif intra-utérin au lévonorgestrel DIU-LNG contre la récidive des symptômes chez les femmes opérées pour une endométriose, Abou-Setta AM, Houston B, Al-Inany HG, Farquhar C, janvier 2013 Les inconvénients du stérilet hormonal quand on est atteinte d’endométriose Cependant, certaines femmes tolèrent mal le stérilet hormonal car il peut générer des douleurs et potentiellement augmenter l’abondance des saignements menstruels. Environ 17 % des femmes se plaignent de règles plus longues dans le premier mois d’utilisation mais ce taux diminue à 3% au bout de trois mois. En cas de règles très abondantes ménorragies, il faut environ six mois pour obtenir une réduction significative du flux menstruel. Il existe également de potentiels effets secondaires poussée d’acné, trouble de l’humeur, baisse de libido et/ou prise de poids éventuelle. En raison de son action hormonale, les médecins préfèrent le stérilet au Lévonorgestrelau au stérilet en cuivre pour les femmes atteintes d’une pathologie gynécologique telle l’endométriose ou des fibromes et celles ayant des règles abondantes ou des ménorragies. Retours d’expériences sur l’utilisation du stérilet hormonal chez les femmes atteintes d’endométriose Sur mon compte Instagram, j’ai récolté des témoignages de femmes atteintes d’endométriose ayant opté pour ce moyen de traitement contre l’endométriose. Plutôt bien dans l’ensemble plus de règles, plus de maux de tête, plus d’oubli de pilule, etc. Point négatif impossibilité de perdre du poids malgré du sport et un rééquilibrage alimentaire et j’ai été obligée de décolorer le duvet sur mon visage. » Ca a été le parfait équilibre pour moi entre douleurs réellement diminuées, pas d’effets secondaires, et quand même un semblant de cycle avec des règles tous les 28 à 30 jours. J’avais une version peu dosée en hormones. » Horrible, horrible. Très mauvaise expérience. 3 mois de test et j’ai supplié qu’on me l’enlève. Beaucoup d’effets secondaires prise de poids fulgurantes, troubles digestifs terribles notamment. » Il m’a donné beaucoup d’acné et le moral en berne. » Dans les points positifs parce qu’il y en a quand même, je peux citer plus d’hémorragies, douleurs d’adénomyose diminuées, arrêt des cycles, arrêt des saignements mais aussi des effets secondaires dépression, perte totale de libido, prise de poids importante. » L’implant sous cutané, le patch et l’anneau vaginal des méthodes de contraception déconseillées avec l’endométriose Ces trois dispositifs contraceptifs ne sont pas recommandés quand on est atteinte d’endométriose car ils contiennent des œstrogènes qui vont entretenir et développer les lésions d’endométriose. Quelles alternatives contraceptives quand on souhaite se passer des hormones synthétiques ? Le stérilet en cuivre, une contraception controversée pour les femmes atteintes d’endométriose Comment fonctionne le stérilet au cuivre en matière de contraception ? C’est une alternative souvent proposée aux femmes qui souhaitent se passer des hormones mais qui veulent continuer à avoir un moyen de contraception dit fiable ». Le DIU au cuivre est un petit objet en plastique souple en forme de T » de 3 à 4 cm recouvert d’un ou plusieurs fils de cuivre. Un petit fil est attaché au bout du stérilet et une fois posé, il est disponible juste à l’entrée de l’utérus pour faciliter son retrait. L’efficacité du stérilet au cuivre est proportionnelle à sa teneur en cuivre. Le stérilet en cuivre empêche la grossesse par l’utilisation du cuivre qui génère une inflammation de l’endomètre, la muqueuse qui tapisse l’intérieur de l’utérus. Cette réaction inflammatoire à corps étranger » empêche les spermatozoïdes d’atteindre les trompes utérines de même qu’elle empêche l’implantation d’un embryon dans la cavité utérine. Le cuivre est également spermicide, il provoque une inactivation des spermatozoïdes. Quels sont les inconvénients quand on est atteinte d’endométriose par rapport à un stérilet hormonal ? Le stérilet au cuivre a plusieurs effets qui sont contraires aux effets recherchés quand on est atteinte d’endométriose il allonge la durée des règles et l’importance des saignements, risquant d’augmenter à la fois la durée des douleurs – et éventuellement les lésions d’endométriose dans le cadre de la théorie du reflux qui n’est pas validée par tous les scientifiquesil peut renforcer et aggraver l’inflammation et donc les douleurs d’endométriose. Témoignages sur l’utilisation du stérilet au cuivre comme méthode de contraception chez les femmes atteintes d’endométriose J’ai récolté un certain nombre de témoignages sur mon compte Instagram qui confirment les désagréments associés au stérilet en cuivre quand on est atteinte d’endométriose. Mon endométriose a beaucoup évolué sous le stérilet au cuivre. J’ai même des lésions qui se sont développées au niveau du col de l’utérus que je n’avais pas avant. » Ca a laissé l’endométriose se développer mais ca n’a pas aggravé mes douleurs pour autant. » Horrible ! C’était avant d’avoir des enfants, mais la boucherie. » Affreux, tant pour les douleurs que pour les règles hémorragiques. » Je ne l’ai gardé que 5 jours, j’étais pliée en 4 car mon corps le rejetait. Il essayait de l’expulser. » J’ai tenu deux mois avec… douleurs permanentes et saignements anarchiques. » Douleurs horribles pendant les règles, à part ça ça allait, mais perso je n’ai pas supporté. » Le stérilet au cuivre a été extrêmement douloureux pour moi. » Certaines femmes indiquent également que l’endométriose s’est révélée chez elles à la suite de la pose du stérilet en cuivre en faisant apparaître les douleurs à cause de l’inflammation. Sur ce sujet, je vous invite également à lire le témoignage de Critéine sur le site A nos corps résistants. La symptothermie, une contraception alternative naturelle qui respecte le corps de la femme et son rythme biologique Qu’est-ce que la symptothermie comme méthode de contraception ? La symptothermie, aussi appelée méthode des indices combinés, est une méthode de suivi du cycle menstruel. Elle est classée dans les méthodes de contraception dites naturelles et, contrairement aux idées reçues, son efficacité est très élevée 98 %. Elle repose sur l’observation du cycle et des signaux du corps. Les deux indices principaux sont la température basale prise au réveil sans mettre le pied par terre et la glaire cervicale familièrement connue sous le nom de pertes blanches. En combinant les deux, on s’assure de ne pas avoir de faux-positifs qui feraient penser que l’ovulation a eu lieu alors que ce n’est pas le cas. C’est cette combinaison qui permet à la méhode symptothermique d’avoir un taux d’efficacité élevé. On peut également ajouter la palpation du col de l’utérus et le ressenti interne plutôt sec, humide ou mouillé de manière facultative. Elle peut être utilisée tout au long de la vie fertile de la femme. L’avantage de cette méthode est qu’elle est complètement naturelle, fondée sur les rythmes biologiques de chaque femme, ne comprend pas d’hormone de synthèse pouvant induire des effets secondaires. Pour aller plus loin, voire pour te former sur le sujet de la symptothermie, je te recommande Eugénie Tabi, formatrice en symptothermie et son site Internet. Elle donne une fois par mois un webinaire gratuit de découverte de la symptothermie. Tu peux également consulter le guide gratuit de Moonly pour découvrir facilement les bases de la symptothermie. Symptothermie et endométriose se faire accompagner pour retrouver le mieux-être Attention, elle ne constitue pas en revanche un traitement pour les douleurs d’endométriose. Les femmes qui font le choix de la symptothermie sont bien souvent des femmes qui souhaitent gérer l’endométriose et les symptômes qu’elles peuvent ressentir de manière naturelle en travaillant sur les 4 dimensions de l’être féminin corporelle, émotionnelle, mentale et spirituelle. Dans ce cas, il est important de continuer à être suivie médicalement sur le sujet de l’endométriose pour connaitre l’évolution de la maladie dans le temps et de se faire accompagner pour mettre en place les choses qui permettent de retrouver un vrai bien-être au quotidien avec l’endométriose. Mes accompagnements peuvent répondre à ce besoin. Je t’invite notamment à découvrir l’accompagnement Vaincre l’endométriose » qui permet d’aborder en profondeur ces quatre dimensions et de retrouver la sérénité en faisant réduire les symptômes. Sur le sujet je t’invite à lire les témoignages de femmes que j’ai accompagnées ici. Les autres moyens de contraception Parmi les autres moyens de contraception existants et qu’il faut citer, on peut parler des contraceptifs locaux le préservatif masculin, le préservatif féminin, le diaphragme, la cape cervicale. Ils représentant une bonne solution en termes de contraception mais ne présentent pas d’avantages par rapport à l’endométriose. Les femmes qui sont dans une relation stable ont tendance à délaisser ces moyens. Je ne m’étendrai pas dans cet article sur les méthodes comme la méthode Billings, la méthode des températures ou le retrait car elles ne sont pas suffisamment méthode irrévocable que constitue la ligature des trompes pour la femme car la plupart des femmes que j’accompagne ont des projets bébé à court, moyen ou long terme.
Lesrègles avec un stérilet au cuivre 1ères règles: J’ai eu des douleurs de règles pendant 2 jours mais qui ne m’ont pas forcée à rester alitée. Mes règles ont repris un cycle habituel (celui avant pilule niveau durée et abondance) dès le mois suivant. J’ai voulu changer le dispositif au bout de 3 ans plutôt que 5 et cette fois en cabinet libéral. Le retrait n’a
Focus sur le stérilet, une contraception qui souffre encore d’être méconnue en France, malgré son efficacité reconnue. Parce que chez Réjeanne nous œuvrons pour la santé des femmes et une meilleure maîtrise de sa sexualité loin des complexes et tabous, on vous dit tout ce qu’il faut savoir sur le DIU, ses effets sur les règles, comment ça marche, etc. C’est quoi un stérilet ? Définition et types de stérilets Un stérilet est un dispositif intra utérin DIU qui sert de contraception. Pour se le représenter, vous pouvez prendre une petite règle puisqu’il s’agit d’un dispositif en forme de T d’environ 3,5 cm de long pour 3 cm de large, avec des petits fils en nylon doux servant à son retrait. À lire ​​Stérilet vs pilule lequel est fait pour moi ? Les types de stérilets Le stérilet sans hormones, entouré de fins fils de cuivre une contraception naturelle ; Le stérilet aux hormones un contraceptif progestatif au lévonorgestrel hormone de synthèse proche de la progestérone. Si tu te poses la question sur le choix d’un stérilet, tu peux te faire conseiller par ton ou ta gynécologue. À lire Comment choisir un contraceptif adapté ? Les questions qu’on se pose sur le stérilet Le stérilet est considéré comme un contraceptif plus efficace que la pilule et que toutes les autres contraceptions avec une fiabilité de 99,95 % pour le stérilet en cuivre et jusqu’à 99,98 % pour celui aux hormones. Pourtant il continue à pâtir d’idées reçues qui perdurent. Attention cependant, même si le préservatif n’est efficace qu’à 85 %, il reste le seul en mesure de protéger des maladies sexuellement transmissibles. Petit tour d’horizon des clichés autour du DIU Le stérilet ça fait mal. Sa pose est réalisée par gynécologue ou sage femme. Elle ne nécessite aucune intervention chirurgicale puisque le professionnel de santé va passer par le vagin pour l’insérer dans l’utérus. C’est très rapide et généralement sans douleurs. Il est recommandé d’insérer le dispositif au cours d’une période de règles, de préférence lors du 4ème jour. Des petits saignements peuvent, en revanche, apparaître quelques temps après, ainsi que des douleurs modérées. Les fils peuvent gêner le partenaire au moment du rapport, il suffit alors de prendre rdv pour les couper plus court. Il faut attendre avant de pouvoir tomber enceinte. L’effet contraceptif est immédiat, mais est rapidement réversible après le retrait du stérilet. Il n’impacte pas la fertilité. Il peut être retiré à tout moment. Sa durée de vie est comprise entre 4 et 10 ans pour celui en cuivre et 5 ans pour celui aux hormones, avec des contrôles annuels. Je ne peux pas mettre de stérilet, car je n’ai pas eu d’enfants. La pose d’un DIU était très décriée chez les femmes qui n’ont pas eu d’enfants, car on le croyait responsable de grossesses extra-utérines ou d’infertilité. D’autres arguments étaient avancés comme leur taille trop importante, la possibilité d’être contaminée par une IST en dehors d’une relation stable. Visions désormais archaïques la Haute Autorité de Santé recommande désormais le DIU pour toutes les personnes menstruées, peu importe leur âge ou le nombre d’enfants. Le stérilet ça coûte cher. En plus de la consultation, dont le prix varie en fonction du praticien, un DIU en cuivre coûte entre 38 et 45 euros contre 120 pour un stérilet aux hormones. Les dispositifs intra-utérins sont pris en charge à 65 % par l’Assurance Maladie. Le stérilet hormonal est la cause de nombreux effets secondaires maux de têtes, douleurs, anxiété, etc. Le stérilet aux hormones a les mêmes effets secondaires potentiels que tous les contraceptifs progestatifs. Les résultats d’une enquête menée par l’Ansm Agence nationale de sécurité du médicament sont plutôt rassurants. N’hésitez pas à poser toutes vos questions au praticien afin de lever vos doutes et de choisir une contraception adaptée. À lire La contraception gratuite étendue aux moins de 25 ans Les effets du stérilet sur les règles Le stérilet en cuivre sans hormones Comment agit le stérilet en cuivre ? Le cuivre a pour propriété d’inhiber l’action et la mobilité des spermatozoïdes. On parle d’un effet spermicide. Le stérilet provoque également un phénomène inflammatoire au sein de l’utérus rendant la nidation de l’embryon impossible en raison d’un amincissement de l’endomètre. Quel est son impact sur les règles ? Le stérilet en cuivre est une contraception naturelle, sans hormones. Elle entraîne donc le maintien ou le retour à des règles que l’on peut qualifier de naturelles au sens que le flux n’est pas impacté par des substances extérieures. Ainsi, bien souvent les pertes et saignements sont plus abondants et les crampes menstruelles plus importantes. À lire Les perturbateurs endocriniens et le cycle menstruel Le stérilet hormonal Comment agit le stérilet hormonal ? Comme tout progestatif, le stérilet hormonal délivre une hormone progestative lévonorgestrel en petite quantité. Cette hormone rend les sécrétions du col de l’utérus infranchissables pour les spermatozoïdes. Quel est son impact sur les règles ? Si le stérilet en cuivre a plutôt tendance à augmenter le volume des règles, le stérilet hormonal a une action similaire à celle de la pilule sur le volume des règles. Les menstruations sont souvent moins abondantes avec une contraction hormonale. Il peut même entraîner l’arrêt des menstruations aménorrhée, sans impact cependant sur la fertilité. Il est donc généralement recommandé aux personnes menstruées avec des règles très abondantes. Ainsi, en plus de son effet contraceptif, le stérilet hormonal peut également avoir une utilité thérapeutique en réduisant les douleurs de règles.
Comme44,4% des jeunes femmes de 15 à 19 ans (selon le Baromètre Santé 2016 sur la contraception), mon premier réflexe contraceptif a été de me tourner vers la pilule. Or, très jeune déjà , j’avais entendu parler de stérilet (qu’on appelle aussi DIU). Ce moyen de contraception peu coûteux et moins dangereux que la pilule souffre encore aujourd’hui de préjugés graves.
Si on n’a plus de règles, il n’y a bien sûr plus de points de repère dans l’organisme pour savoir ce qui se passe. La ménopause, c’est une diminution de la production d’hormones. Et cette production d’hormones, elle se dose de façon extrêmement facile dans le sang. Une simple prise de sang par le médecin généraliste ou le gynécologue permet de dire s’il reste une production de l’ovaire – une contraception doit alors être maintenue – ou s’il n’y a plus de production hormonale. Petit bémol à cette prise de sang la prise de sang analyse le dosage hormonal du jour où on fait la prise de sang. On sait bien que l’ovaire peut travailler par intermittence. Si on a un doute concernant la réalité d’une ménopause, on espace deux prises de sang de quelques semaines, pour vérifier qu’il n’y a pas de reprise de l’activité de l’ovaire. En fonction de l’avis du gynécologue, le stérilet est peut-être enlevé si on est ménopausée, mais il peut aussi rester en place pour d’autres fonctions. Si on a le moindre doute, ou si on a peut-être envie d’avoir certains types de traitements pour la ménopause.
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15 jours de règles avec stérilet cuivre